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Tombola de Noël 2020

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– le livre « Quand l’au delà nous parle  » de Lionel Broucksaux Médium
– un galet La Plume de l’Ange ~ Créations Intuitives
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3ème lot : Valeur 100€
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L’intestin a une ligne directe pour transmettre ses états d’âme au cerveau.

L’intestin est la cible de l’heure pour comprendre et traiter plusieurs problèmes de santé allant de l’obésité à la dépression. Une nouvelle étude lève le voile sur l’un des mécanismes par lesquels l’intestin et le cerveau se parlent, ce qui pourrait modifier plusieurs approches thérapeutiques.

Un texte de Renaud Manuguerra-Gagné

Depuis quelques années, nous assistons à un renouveau en ce qui a trait à la perception de notre système digestif. Loin de simplement servir à traiter les aliments, notre intestin ainsi que les cellules nerveuses qui le contrôlent et le nombre incalculable de bactéries qu’il contient peuvent influencer notre santé, et même notre comportement, au point que l’on surnomme cet organe notre deuxième cerveau.

Jusqu’à maintenant, les chercheurs pensaient que le principal moyen employé par l’intestin pour communiquer avec le cerveau était les hormones, celles-ci pouvant prendre parfois jusqu’à une dizaine de minutes pour atteindre leur cible.

Des chercheurs de l’Université Duke, aux États-Unis, viennent toutefois de démontrer que cette communication est beaucoup plus rapide que prévu.

Leurs travaux montrent même que l’intestin se brancherait directement sur le système nerveux, transférant de l’information au cerveau en quelques secondes, une rapidité qui pourrait exercer une influence importante sur le développement de plusieurs maladies et sur leurs traitements.

Une autoroute de l’information

L’intestin contient des centaines de millions de cellules nerveuses qui forment le système nerveux entérique. Ce système, qui s’étend sur toute la longueur du système digestif, permet à l’intestin d’agir de façon autonome presque indépendamment du cerveau.

L’intestin est aussi tapissé de cellules sensorielles, nommées cellules entéro-endocrines, qui récupèrent des informations chimiques sur l’environnement intestinal et ses bactéries et relaient ces informations grâce à la production d’hormones.

Pour les chercheurs, cette méthode de communication, bien qu’importante, semblait trop lente pour produire plusieurs des effets observés. Ils ont donc décidé d’ajouter un peu de couleur à l’intestin pour voir si une autre méthode sortait du lot.

Ils se sont alors tournés vers un outil assez surprenant : un virus de la rage combiné à des molécules fluorescentes. Comme la rage est un virus qui se répand dans le corps en remontant le long des nerfs, les scientifiques espéraient que ce dernier révèle des trajectoires nerveuses inconnues entre l’intestin et le cerveau.

En l’inoculant à des souris, ils ont pu suivre le trajet du virus, d’abord capté par les cellules entéro-endocrines, puis illuminant sur son passage des cellules nerveuses jusqu’à ce qu’il rejoigne le nerf vague, l’un des plus longs nerfs du corps, dont les branches relient directement l’information en provenance de plusieurs organes jusqu’au cerveau.

En examinant ensuite les cellules nerveuses, les chercheurs ont remarqué que l’intestin pouvait envoyer de l’information sur son contenu en quelques dizaines de millisecondes, beaucoup plus rapidement que par la voie hormonale.

Ressentir avec ses tripes

Bien plus qu’une leçon d’anatomie, la découverte de cette connexion directe met en valeur d’autres travaux,  qui viennent tout juste de montrer comment la stimulation des neurones sensoriels dans l’intestin active directement le circuit de la récompense dans le cerveau, en y permettant la relâche de dopamine.

Pour les chercheurs, cette connexion rapide et ses conséquences sur le cerveau pourraient non seulement expliquer la sensation de bien-être quand on mange, mais aussi pourquoi un grand nombre de médicaments dits « coupe-faim » sont inefficaces, ces derniers ciblant principalement une voie hormonale.

Plus encore, des études montrent que des maladies neurologiques variées, comme la dépression ou la maladie d’Alzheimer, pourraient tirer leurs sources de l’état de santé de l’intestin.

Jusqu’à maintenant, plusieurs chercheurs ont mené des investigations à propos de ce lien en étudiant les hormones circulant de l’intestin au cerveau. La découverte de cette nouvelle connexion pourrait toutefois ouvrir de nouveaux champs d’études pour mieux comprendre ces maladies.

Les bienfaits de la méditation selon le neurologue belge Steven Laureys

Et si la méditation permettait de se sentir mieux ? C’est l’hypothèse posée par Steven Laureys, neurologue et professeur de clinique au département de neurologie du CHU de Liège. « Plutôt que de prendre des médicaments, des calmants ou de commencer à boire, c’est à travers le yoga que j’ai pu prendre conscience de cette petite voix intérieure », raconte sur le plateau du journal télévisé de 13h celui qui vient de publier un livre sur le sujet. Un entretien à découvrir en intégralité dans la vidéo ci-dessous.

Le médecin lauréat du prestigieux prix Francqui en 2017 l’assure : la méditation, « ce n’est pas quelque chose d’ésotérique, ça peut améliorer vos émotions, l’attention, et on le voit avec nos machines. […] On va le sentir subjectivement et les machines vont voir que notre cerveau, la matière grise, les connexions, le fonctionnement changent. Donc ça vaut la peine. »

Reste à trouver la méthode qui vous convient le mieux. Car définir la méditation, c’est comme essayer de définir « le sport », tempère Steven Laureys. Pour lui, cela peut commencer simplement par une attention portée à notre respiration. « Juste prendre une bonne inspiration permet de reconnecter. Focaliser sur sa respiration, c’est très simple et aussi puissant. On peut en avoir besoin dans un monde où on est sur-stimulé, stressé. »

Les blessures les plus profondes ne sont pas causées par les couteaux affûtés…

 

Les blessures les plus profondes ne sont pas causées par les couteaux affûtés

Les blessures les plus profondes ne sont pas causées par les couteaux, non ; elles sont causées par les mots, les mensonges, les absences et les faussetés. Ce sont des blessures qui ne se voient pas sur la peau, mais qui font mal, qui saignent, car elles sont faites de larmes tristes que l’on verse lorsque l’on se trouve seul-e-s avec nous-mêmes et dans une amertume silencieuse…

Ceux qui ont été blessés naviguent pendant un certains temps et partent à la dérive. Plus tard, lorsque le temps se met peu à peu à panser leurs blessures, ils se rendent compte de quelque chose ; ils perçoivent qu’ils ont changé et ce même s’ils se sentent vulnérables, et parfois, ils commettent la pire des erreurs possibles : celle qui consiste à ériger une barrière bien solide pour se protéger. Cette barrière est composée de méfiance, et parfois du fil de la haine, voire même des barbelés de la rancune ; tout autant de mécanismes de défense auxquels il faut mieux éviter de se frotter une fois de plus.

Or, on ne peut pas constamment vivre en étant sur la défensive ; on ne peut pas s’établir indéfiniment sur les îles de la solitude, ni devenir des expatrié-e-s du bonheur. 

Gérer la souffrance, c’est un travail dur et consciencieux qui, comme dirait Jung, requiert que l’on se retrouve seul-e-s avec notre ombre afin de retrouver notre estime de nous-mêmes.

Or, cette union ne pourra être favorisée que par nous-mêmes, et personne ne pourra mener ce travail à notre place. Il s’agit d’un acte de solitude délicate que l’on mènera presque en guise d’initiation. Seuls ceux qui parviennent à faire face aux démons de leurs traumatismes avec courage et détermination pourront sortir victorieux de cette forêt d’épines envenimées. Les personnes qui réussissent à se tirer de ce scénario hostile ne seront plus jamais les mêmes.

Un baume pour guérir l’esprit blessé

Le  baume de l’esprit blessé, c’est l’équilibre. C’est pouvoir faire un pas vers l’acceptation afin de se libérer de tout ce qui nous pèse, de tout ce qui nous fait mal. C’est muer et se débarrasser de cette peau fragile et blessée afin d’en dévoiler une autre, plus dure et plus belle, qui protégera ce coeur fatigué d’avoir froid. Or, n’oublions pas que de nombreuses racines souterraines continuent à alimenter la racine de la souffrance ; des ramifications qui, loin de drainer la blessure, l’alimentent.

La haine de la vulnérabilité fait partie de ces nutriments. Il y a ceux qui la nient, et ceux qui réagissent à cette apparente fragilité. La société dans laquelle nous vivons nous interdit d’être vulnérables.

Le baume permettant d’apaiser l’esprit blessé passe cependant aussi par l’acception des parties les plus fragiles de ce dernier, qui ont intégré nos blessures mais qui se sentent méritantes d’atteindre enfin la plénitude et le bonheur. L’important, c’est de s’aimer suffisamment soi-même afin de pouvoir accepter sans rancune ces parties cassées de notre esprit, et sans en arriver à rejeter l’affection, qu’il s’agisse de celle que l’on porte envers nous-mêmes, mais aussi de celle que les autres peuvent nous manifester.

Une autre de ces racines qui alimentent notre esprit blessé, c’est la vermoulure du ressentiment. Quoi qu’on puisse en dire, cette émotion a tendance à « intoxiquer » notre cerveau, si bien qu’elle en arrive parfois à altérer nos schémas de pensée. La rancune prolongée modifie notre vision de la vie, mais aussi le regard que l’on porte sur les gens…et lorsqu’on se retrouve pris-e-s au piège dans cette cage, il est impossible de trouver un baume qui puisse apaiser notre esprit blessé.

Ces blessures profondes et invisibles seront là pour toujours, inscrites dans le plus profond de notre être. Cependant, deux options s’offrent alors à nous : soit nous pouvons choisir de rester éternellement prisionnier-e-s de la souffrance, soit nous pouvons prendre la décision de sortir de notre carapace afin d’accepter et de ressentir la vulnérabilité en elle-même. Il n’y a qu’ainsi que l’on pourra gagner en force, tirer des leçons, et faire ce pas libérateur vers le futur.

Nous sommes tous un peu cassés, mais nous sommes aussi courageux.

Nous traînons tou-te-s nos parties cassées, les pièces perdues de ces puzzles qui ne pourront donc jamais être terminés et complétés. Une enfance traumatisante, une relation affective douloureuse, la perte d’un être cher… Jour après jour , nous nous croisons les uns les autres sans percevoir ces blessures invisibles. Les batailles personnelles que chacun-e a livré profilent ce que nous sommes aujourd’hui. Le faire avec courage et dignité nous anoblit et fait de nous des créatures bien plus belles.

Nous devons être capables de nous retrouver nous-mêmes. Les coins accidentés de notre intérieur nous éloignent complètement de ce squelette interne sur lequel se fondent notre identité, notre valeur, ainsi que l’image que nous avons de nous-mêmes. Nous sommes comme des âmes estompées qui ne se reconnaissent pas dans le miroir ou qui se persuadent elles-mêmes qu’elles ne méritent plus d’aimer ou d’être aimées de nouveau.

Quelques clés pour panser courageusement ses blessures

En japonais, il existe une expression, « Arigato zaishö », dont la traduction littérale en français donne « merci illusion ». Cependant, pendant un certain temps, cette expression a revêtu une connotation réellement intéressante dans le domaine du développement personnel : elle nous montre la subtile capacité dont dispose l’être humain de transformer la souffrance, la rancune et les amertumes en leçons de vie.

• On ouvre les yeux depuis l’intérieur, pour nous illusionner de nouveau. Car se concentrer sur la torture que génèrent ces blessures nous éloigne complètement de l’opportunité d’acquérir connaissance et perspicacité.

• Pour y arriver, nous devons être capables d’éviter que nos pensées deviennent ce marteau qui, parfois, frappe là où ça fait mal. Sinon, peu à peu, le trou se creusera.

• Freiner les pensées récurrentes d’angoisse, de rancune ou de culpabilité, c’est sans doute la première étape à franchir. Ainsi, il est également préférable de focaliser toute notre attention sur le lendemain.

• Lorsque nous nous trouvons dans cette pièce obscure où nous sommes seul-e-s avec l’amertume et la rancune, les perspectives de futur s’éteignent, n’existent pas. Nous devons nous habituer peu à peu à la lumière, à la clarté du jour, à l’apparition de nouvelles illusions, de nouveaux projets.

Il est possible qu’au fil de notre vie, nous nous soyons « enterré-e-s vivant-e-s » du fait de cette douleur générée par les blessures invisibles que nous renfermons. Cependant, n’oubliez pas que nous sommes des graines et que nous sommes capables de germer même dans les situations les plus difficiles et délicates afin de crier « Arigato zaishö ».

Des neuroscientifiques disent qu’écouter de la musique pourrait diminuer l’anxiété de 65%

Alors que 2016 a été une année particulièrement stressante, de multiples études de la «génération Y» (personnes nées dans les années 1980 et 1990), on déclaré vivre dans « l’âge du désespoir», selon Marjorie Wallace. Elle est le chef de la direction de l’organisation caritative « Sane », qui travaille à partir d’une multitude d’études psychologiques, uniquement sur le niveau d’anxiété auquel la génération Y est confrontée.

Une enquête réalisée en 2013 a découvert qu’aux États-Unis, 57% des étudiantes confrontées à des périodes «d’anxiété écrasante », et une étude au Royaume-Uni a découvert qu’un tiers des jeunes femmes et 10% des hommes du millénaire souffraient d’attaques de panique.

Ce niveau d’anxiété est significativement plus élevé que celui des générations précédentes. Il est attribué à l’angoisse produite par les médias sociaux, la dépendance parentale à cause des parents trop protecteurs, et trop de choix ce qui est émotionnellement paralysant, selon des chercheurs tels que Rachael Dove et Pieter Kruger.

Kruger dit que la diversité de choix augmente la peur de l’échec et l’absence de confinement, augmentant un besoin obsessionnel de prendre les bonnes décisions, ce qui se traduit souvent par aucune décision du tout. La pression interne que cela entraîne, conduit à une anxiété insurmontable, et les médias sociaux ont crée FOMO (la peur de manquer de quelqu’une chose), selon Kruger. Ce phénomène qui vous compare trop à la vie des autres personnes, a massivement conduit cette génération à chroniquement se sentir inférieure aux autres.

Bien sûr, ce que les gens présents sur les médias sociaux font voir de leur vie, n’a aucun rapport avec la réalité quotidienne. FOMO est une bonne raison de sortir d’une dépendance aux médias sociaux qui encourage cet état dépressif, et de trouver des sources qui favorisent la paix intérieure.

La vidéo que vous êtes sur le point de regarder ci-dessous est le résultat de la recherche neuroscientifique à Mindlab International, pour trouver que la musique combinée à un stimulus visuel, a réduit l’anxiété de 65% chez les sujets qui ont essayé de résoudre un puzzle stressant. Ils ont trouvé une chanson baptisée « Weightless » qui a eu cet impact magique, tout en réduisant le stress physiologique de 35%, quand les gens ne sont pas dans un environnement stressant. « Weightless » était tellement relaxant que les chercheurs déconseillent de conduire en l’écoutant! Faites-nous savoir comment vous vous sentez après cette expérience.

Si vous vous battez avec l’anxiété, la thérapie musicale pourrait être en mesure de vous aider. Regardez la vidéo ci-dessous pour écouter la chanson Weightless de Marconi Union.

Interview en dehors du tapis avec Matthieu Ricard « Liberté, altruisme et bienveillance »

Écrivain, moine bouddhiste, conférencier éclairé (ou éveillé), Matthieu Ricard pose un regard bienveillant sur le monde qui l’entoure, sans occulter les défis auxquels ce dernier va devoir faire face. Au cœur de son dernier ouvrage À nous la liberté !* : l’altruisme, l’écologie et le bonheur intérieur pour se libérer de ces peurs qui nous entravent. 

Propos recueillis par Lionel Piovesan et Julien Levy

Vous avez dit dans une conférence : « L’altruisme n’est plus un luxe, mais une nécessité. Le lien social est ce qui rend votre existence la plus heureuse, la plus épanouie. » Votre dernier livre porte sur la liberté. Le grand maître bouddhiste Chogyam Trungpa** parle du mythe de la liberté. Quelle est votre approche ?

Matthieu Ricard : Dans cet ouvrage essentiel, Chogyam Trungpa explicite de manière lucide le chemin vers la libération de la souffrance et de l’ignorance, sa cause première. Bien qu’il n’élabore pas particulièrement sur ce thème, le « mythe » auquel il fait référence est celui des êtres qui s’imaginent être libres – « Je fais ce que ce veux, » ; « je suis mes intuitions, mes impulsions » ; « j’agis dans la spontanéité, » etc. – alors que ces déclarations indiquent plutôt que l’on est l’esclave des pensées errantes, des ruminations, des espoirs et des craintes. On est tout, sauf libres. Notre degré de liberté intérieure conditionne toutes nos pensées, nos paroles et nos actes. Si nous sommes constamment le jouet de l’animosité, de l’égoïsme, de l’obsession, de la vanité et de l’arrogance, nous nous rendrons la vie misérable et la rendrons misérable à ceux qui nous entourent. Tout cela procède de l’égarement, c’est-à-dire d’un manque de discernement concernant les causes de la souffrance.

Quel lien faites-vous entre l’absence de liberté intérieure et l’inertie en matière climatique ?

Cela peut ne pas sembler évident à première vue, mais l’absence de liberté intérieure est une cause majeure de notre inertie vis-à-vis de la planète et notre indifférence à l’égard des générations futures. L’ensemble de la question climatique revient donc à une question d’altruisme et d’égoïsme. Pourquoi donc songer aux générations futures alors qu’on ne sera plus là ? se disent certains. Si je me fiche totalement du sort des générations futures, des autres espèces et que je suis mû par le désir aveugle d’instrumentaliser la nature pour maximiser mes intérêts à court terme, c’est bien que je suis esclave de mon égarement…

La respiration profonde : une manière simple d’améliorer votre vie.

La respiration profonde nous aide à apaiser l’agitation, le stress et l’anxiété.

Bien respirer pour mieux vivre est un principe de bien-être physique et mental qui réclame notre attention entre la vitesse et les pressions au milieu desquelles nous vivons. Ce type de respiration nous permet de nous connecter davantage à nous-mêmes, à nos besoins vitaux…

Beaucoup de cultures voient dans le processus de respiration quelque chose de plus important que cet acte – en apparence – involontaire qui garantit notre survie et auquel nous ne prêtons que peu d’attention. Beaucoup parmi nous font partie de ce monde en constante agitation ; à tel point que quand nous ressentons le besoin ou la curiosité de pratiquer le yoga, le mindfulness ou le tai-chi, nous prenons conscience que respirer signifie beaucoup plus qu’inspirer de l’air pour l’expirer à nouveau.


« À chaque moment, je dois me rappeler que je dois continuer de respirer, que mon cœur doit continuer à battre… »

-Emily Brontë-


Dans ce processus rythmique d’expansion et de contraction, la respiration représente aussi cette polarité constante que nous voyons dans la nature, comme la nuit et le jour, la veille et le sommeil, le calme et la tempête, le printemps et l’hiver… Il s’agit d’un cycle qui a ses normes et ses périodes, sa musique intérieure et ses incroyables bénéfices s’il est parfaitement réalisé.

La majorité des gens respirent rapidement et de façon superficielle, en n’utilisant qu’une petite partie de la capacité de leurs poumons qui s’étendent à peine. Dans un état normal, nous respirons entre 17 ou 18 fois par minute. Cependant, quand nous souffrons d’anxiété ou de stress, cette fréquence respiratoire s’accélère, pouvant atteindre les 30 respirations. C’est un risque. C’est comme vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de notre tête car cela génère un déséquilibre progressif qui affectera notre pression artérielle, notre système immunitaire, nos muscles et même notre esprit.

Cependant, une chose aussi simple que le fait de « respirer profondément » et sous contrôle entraîne un bénéfice systémique, en équilibrant de multiples processus et en offrant un chemin de sortie à beaucoup d’émotions négatives qui paralysent notre quotidien.

Et si nous apprenions à bien respirer pour mieux vivre ?

Respiration profonde mais posée

Il existe une donnée très intéressante qui mérite au moins d’y réfléchir : la respiration est l’une des rares fonctions corporelles que nous réalisons aussi bien volontairement qu’involontairement. Elle constitue une grande opportunité de contrôle sur notre corps, en améliorant, si nous exerçons ce contrôle de manière intelligente, notre qualité de vie.

Songez qu’une respiration volontaire et consciente peut influer sur la façon dont nous respirons quand nous le faisons de manière automatique. De cette façon, nous améliorons la pression sanguine, le rythme cardiaque, la circulation, la digestion et beaucoup d’autres fonctions corporelles.

Il est possible que certaines personnes se demandent s’il existe une quelconque preuve scientifique affirmant que la respiration profonde est réellement aussi positive et bénéfique que nous l’expliquent les cultures orientales. Il convient de dire que ce que nous montrent certaines études, comme celle publiée dans la revue scientifique “Harvard Health“, est que la respiration lente est la chose la plus bénéfique pour notre corps. 

Quand nous respirons profondément, mais surtout lentement, nous arrivons à faire en sorte que l’oxygène arrive véritablement jusqu’aux cellules et que le niveau de CO2 sanguin ne descende pas. On est aussi arrivés à la conclusion selon laquelle le type de respiration qui nous est le plus bénéfique est la respiration diaphragmatique : celle où nous inspirons l’air en profondeur, le laissant entrer par le nez et remplir complètement les poumons, en élevant la partie basse de notre abdomen.

Les bénéfices de la respiration profonde

On nous a tous dit, à un moment de notre vie, « ce n’est pas grave, respire un bon coup ». C’est comme un sortilège, un mot magique qui, quand on l’exécute, nous produit un bien-être intégral, un soulagement presque instantané qui calme le corps et réorganise l’esprit. Cette stratégie aurait beaucoup plus de bénéfices si nous prenions l’habitude de la mettre en pratique chaque jour afin de la transformer en habitude.

Voici quelques changements que nous pourrions noter :

  • Cela améliorerait le métabolisme cellulaire de notre corps.
  • Nous gérerions mieux notre stress et notre anxiété.
  • Nous dormirions mieux.
  • Les digestions seraient moins lourdes.
  • Nous aurions moins de douleurs musculaires et de migraines
  • Nous serions plus concentré-e-s dans nos tâches.
  • Notre axe postural s’améliorerait et nous aurions moins mal au dos.
  • Nous apprendrions à être plus centré-e-s sur le « ici et maintenant ».

Apprendre à pratiquer la respiration profonde

Comme nous l’avons signalé au début, les personnes respirent en moyenne entre 17 et 18 fois par minute. Notre objectif, avec la respiration profonde, est de réduire ces chiffres à 10 par minute. Il est clair que nous n’y arriverons pas dès la première session mais, petit à petit et jour après jour, nous atteindrons cet objectif qui aura sans aucun doute des répercussions sur notre bien-être.


« Vivre ne consiste pas seulement à respirer, c’est beaucoup plus que cela… »

-Mao Zedong-


Voici comment vous pouvez y arriver.

En premier lieu, cherchez un endroit confortable pour vous installer. Vous devez avoir le dos droit et porter des vêtements dans lesquels vous êtes à l’aise, en laissant la zone de la taille et de l’abdomen libre de toute pression (ouvrez le bouton du jean ou enlever votre ceinture).

  • Tendez la poitrine, relâchez vos épaules et fermez les yeux.
  • Placez une main sur votre poitrine et l’autre sur l’abdomen.
  • Inspirez lentement et profondément au bout de 4 secondes.
  • Dès que vous le faites, vous devez remarquer que la main sur l’abdomen s’élève beaucoup plus que la main sur la poitrine.
  • Retenez cet air pendant 5 secondes pour ensuite l’exhaler de manière sonore au bout de 7 secondes.

Commencez en suivant ce rythme puis, au fur et à mesure que vous apprenez à le contrôler, vous pouvez ajuster les durées pour parvenir à une moyenne de 10 respirations par minute. Peu à peu, vous remarquerez des bénéfices notables sur votre santé physique et un calme mental adéquat grâce auquel vous pourrez mieux affronter votre quotidien.

Réouverture 18/05/2020


Bonjour à tous, j’ai le plaisir de vous annoncer la réouverture du Centre Thérapeutique Le Choix de l’Être, le lundi 18 Mai à partir de 8H30.

🔺Cependant, quelques mises en place seront nécessaires pour que tout se passe dans les conditions les plus favorables, afin d’éviter la propagation de ce virus.
🔺Les mesures d’hygiène et de sécurité seront renforcées.
🎈Pas de croisement clients.
🎈Désinfection et aération du cabinet entre chaque rdv.
🎈Pas d’accompagnateur autorisé lors de vos séances.
🎈Le nombre de personnes reçues à la journée sera réduit.
🎈Du gel hydro-alcoolique sera mis à la disposition à l’entrée.
🎈Les séances se feront avec port obligatoire d’un masque pour vous comme pour moi.
🎈Pensez bien à vous équiper de votre masque personnel.
🎈Pour le confort de chacun , une distance de 1M est préconisé.
🎈Ceci ne concerne que les séances individuelles, les ateliers collectifs sont annulés jusqu’à nouvel ordre et les séances en visioconférence continuent ! 
Stop COVID 19, en cas de symptômes, différer votre rdv 
🔺Merci de votre compréhension et de votre confiance . 
Philippe Lantelme🙏🙏🙏

Joyeux Anniversaire


Il y a un an, ouvrait le Centre Thérapeutique « Le Choix de l’Être »

♦️Ateliers , Conférences , formations , consultations individuelles …

♦️De belles rencontres , de beaux échanges et partages . 

♦️Merci pour votre confiance . 

♦️De continuer à nous suivre aussi nombreux , sur la page pro Facebook du « Choix de l’Être », ainsi que sur notre site lechoixdeletre.com pour les événements à venir . 

♦️Toute l’équipe vous attend prochainement pour continuer à prendre soin de vous . 

♦️Excellente journée à toutes et à tous . 
Je nous aime , je vous aime
Philippe  ❤️😘❤️

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Les étages du cerveau pour mieux comprendre les réactions émotionnelles des enfants…..

Daniel Siegel est un neuroscientifique spécialisé dans le cerveau des enfants. Il a conçu le modèle des étages du cerveau pour expliquer comment fonctionne le cerveau des enfants et permettre aux adultes de mieux les comprendre et les accompagner. Ce modèle peut être utile pour mieux comprendre les réactions émotionnelles des enfants à la maison ou en classe.

Ce modèle utilise une métaphore : le cerveau est comme une maison à 3 étages.

Le premier étage est la cave qui correspond au cerveau des réflexes ou cerveau dit reptilien (qui contrôle par exemple la pression artérielle, les battements du coeur ou encore la respiration). C’est cette partie du cerveau qui s’active quand on touche quelque chose de brûlant et qui nous commande le retrait de la main de la plaque chauffante.

Le deuxième étage est celui du rez de chaussée dans lequel est logé l’amygdale, centre des émotions. L’amygdale est en permanence en train de scanner l’environnement extérieur à la recherche de dangers et menaces potentielles. Quand l’amygdale repère un danger (létal comme un lion affamé ou non comme un contrôle de maths ou un conflit avec un camarade à la récré), alors l’amygdale provoque une réaction de stress : attaque, fuite ou paralysie.

Le troisième étage est l’étage du cerveau rationnel, celui qui réfléchit, prend des décisions, analyse, met en perspective, anticipe et fait preuve de logique.

étages du cerveau des enfants

Ce modèle permet de comprendre certaines réactions qui semblent irrationnelles (et à juste titre) des enfants. Quand ceux-ci sont sous stress, ils n’ont plus accès à leur cerveau rationnel. Tout se passe comme si leur réflexion était débranchée parce que l’escalier pour passer du rez de chaussée à l’étage est bloqué. Pour débloquer l’escalier, il faut reconnecter toutes les parties du cerveau, en commençant par le bas.

Le premier pas, face à un enfant désorganisé par le stress, est de redescendre à la cave en l’invitant à se concentrer sur sa respiration ou à bouger.

Le deuxième pas est de se connecter émotionnellement avec lui pour accéder au rez de chaussée. Cela passe par des mots qui valident les émotions (“tu as eu peur…”, “c’est vrai que c’est difficile de…” “tu as l’impression que…”), des gestes tendres, des regards chaleureux.

C’est seulement dans un troisième temps que l’enfant pourra à nouveau accéder à l’étage du cerveau rationnel. C’est à ce moment-là (et pas avant) qu’il est capable de répondre à des questions telles que “qu’est-ce qui s’est passé ?” ou “comment réparer ?”.

Pas de redirection des comportements sans connexion émotionnelle d’abord !

En prévention, il est possible de présenter le modèle des étages du cerveau aux enfants afin qu’ils comprennent comment leur cerveau fonctionne et comment se réguler. Aménager un espace de retour au calme à la maison ou en classe peut permettre aux enfants d’aller au bout de la démarche d’auto régulation.

Pourquoi est-il nécéssaire de ressentir ses émotions pour les guérir ?

Tout ce qui ne s’exprime pas , s’imprime ….

et tout ce qui est réprimé va, à un moment ou un autre , ressortir !

J’ai passé beaucoup de temps à refouler mes vrais sentiments, exprimer mes émotions et être réellement moi-même.

La colère me faisait me sentir mal.

La tristesse me faisait me sentir faible.

L’amour me faisait peur.

Je suis devenu maître dans l’art de la dissimulation quand je me retrouvais face à l’un de ces sentiments.

Certaines personnes engourdissent leur émotions par l’alcool, la drogue, le shopping ou autre.

J’ai engourdi les miennes par le contrôle.

En étant sans arrêt dans le contrôle de mes émotions.

En exerçant un contrôle sur tout ce que je pouvais ressentir .

Mais les émotions finissent par se répandre et exploser comme un volcan en sommeil.

«l’émotion , Vous devez la ressentir pour la guérir

En tant que personne qui déteste absolument tout ce qui me rend vulnérable, c’est le meilleur conseil que je n’ai jamais reçu.

Chaque chose folle, malsaine, que nous faisons dans la vie a un catalyseur.

Quelque chose qui déclenche l’événement qui nous amène à l’endroit où nous n’aurions jamais pensé être.

Il peut s’agir de la mort d’un être cher, le souvenir d’un traumatisme d’enfance, la rencontre d’une autre âme qui nous montre un miroir et nous oblige à voir ce que nous ne voulons pas.

Et nous sommes ici parce que nous ne pouvons pas faire face à la vraie douleur qui se cache derrière.

Nous cherchons donc des moyens d’y échapper.

Mais le seul moyen de sortir est d’entrer car il faut ressentir ses émotions.

Dans les sentiments, la douleur, le mal.

Et aussi dans la solitude. Il n’y a pas d’autre moyen.

J’ai essayé pourtant.

J’ai tout essayé. Mais il faut tout ressentir ses émotions pour guérir, traverser et aller de l’autre côté.

La méditation est l’une des meilleures techniques. Vous voulez ressentir ?

Calmez votre esprit, asseyez-vous avec vous-même et regardez ce qui se passe.

Posez-vous les questions vraiment difficiles :

1) Suis-je présent dans ma vie ou suis-je engourdi pour ne pas ressentir ?

2) Qu’est-ce que je cache ?

3) Qu’est-ce que je ressens vraiment dans mon cœur ?

4) Si je me fichais de ce que les autres pensent de moi, que dirais-je que je ne dis pas maintenant ?

Ne vous contentez pas de dire: «J’ai peur…». Cherchez les raisons . Avez-vous peur d’être seul ?

Est-ce que cela vous fait ressentir la même chose que lorsque votre père est décédé? Qu’est-ce qui vous fait peur si vous êtes seul ?

Et pouvez-vous vous pardonner d’avoir peur de cela et simplement le ressentir ?

J’ai remarqué récemment que je réprimais beaucoup d’émotions.

J’en avais honte car je pensais qu’elles auraient déjà dû être parties. Tristesse, chagrin, solitude, besoin, envie, désir, honte. Plus je réprimais les sentiments, plus ils montaient.

Alors je leur ai donné une voix. Je savais qu’en les libérant, cela ne voulait pas dire qu’ils resteraient plus longtemps que nécessaire.

Je leur ai permis de faire leur travail de guérison en reconnaissant qu’ils étaient là.

Mais mes sentiments n’ont plus aucun pouvoir sur moi , car désormais je les ressens au lieu de les réprimer, de les engourdir ou d’essayer de les contrôler.

Chaque sentiment que nous avons a quelque chose à nous apprendre sur nous et constitue une occasion de guérir à un niveau plus profond.

Donc, ne réprimez pas vos sentiments.

Permettez-vous de tout ressentir.

Ne portez aucun jugement.

Montrez-vous de la compassion pour le voyage imparfait que vous entreprenez.

Cela vous conduit à un endroit génial.

Pour votre plus grande transformation.

Et n’oubliez jamais, vous devez ressentir vos émotions pour les guérir, car il n’existe aucun raccourci.

Au plus vite vous conscientisez ce qui vous rend heureux et au plus vite , vous l’êtes !

Se lamenter ou se Réjouir ?

🔺Bonjour . Malgré la situation, nous avons tous le choix . Se lamenter ou se réjouir. 
🔺Et si vous utilisiez ce moment pour vous délester de tout ce qui vous encombre, au niveau Émotionnel ? 
🔺Colère , Anxiété , Stress, Tristesse, Addictions , Phobies, Troubles du comportement alimentaire . 
🔺Je continue à vous accompagner au quotidien et je remercie toutes les personnes qui continuent de me faire confiance . 
🔺En Visioconférence, les résultats sont identiques , n’attendez plus pour prendre soin de vous . 
🔺Par Messenger, Zoom, Skype , WhatsApp … Choisissez . 
🔺Pour tout rdv, voici le lien 

https://www.doctolib.fr/hypnothe…/greasque/philippe-lantelme
☎️06 63 12 81 51

Belle et douce journée et prenez bien soin de vous 
Philippe 😘😘❤️

Les Séances continuent….

❤️Bonjour . Suite à de nombreuses demandes , Ceci est la confirmation que le Choix de l’Être à Gréasque est fermé temporairement. 

❤️En revanche, certains thérapeutes de l’équipe continuent à travailler, eux-aussi s’adaptent et leurs séances se font en visioconférence uniquement , par les différentes applications comme Messenger , Zoom , Skype, Whatsapp, viber .. 
❤️Ceci est vraiment utiles pour ne pas lâcher la main de nos clients , de nos patients qui continuent à nous faire confiance . 
Encore plus présents, pour vous accompagner dans les moments que nous vivons . 
❤️Avec de nouveaux outils, de nouvelles compétences !
Le résultat est identique au présentiel en cabinet . 
Merci 

En attendant, prenez bien soin de vous et de vos proches .

lechoixdeletre.com
pour contacter Philippe Lantelme :
☎️06 63 12 81 51

#hypnotherapy #love #relaxation #therapy #confianceensoi #picoftheday#positivevibes #happy #followme #beyourself #lifestyle #spirituality#bhfyp #gratitude #coach

Avant de vouloir changer le monde, n’est-il pas nécessaire de se changer soi-même ?

🌟 Et si… 🌟

Et si on arrêtait de regarder ce que le voisin a dans son assiette?
Et si on s’occupait un peu plus de nous?
Et si on évitait de se comparer ?
Et si on stoppait les médisances?
Et si on regardait le verre à moitié plein?
Et si on posait un regard bienveillant sur ce qui est tout autour de nous?
Et si on voyait plus grand?
Et si on souriait sans raison?
Et si on croyait un peu plus en nous?
Et si on arrêtait de ruminer le passé?
Et si on rêvait plus souvent?
Et si on disait plus souvent je t’aime?

Et si…
~ La Plume de l’Ange ~

Bisous doux les lumières 🦋

Un grand merci à « la Plume de l’ange »

Pourquoi couper des liens avec des membres de la famille toxiques est un acte sain ?

Parfois, nous passons des années à sacrifier notre santé mentale et émotionnelle dans des relations abusives sous prétexte que nous devons supporter les membres de notre famille. Mais dans certains cas, couper les liens avec les membres de la famille est l’une des décisions les plus difficiles auxquelles nous pouvons faire face dans la vie, mais parfois c’est nécessaire !

Mais qui veut être la personne qui ne parle pas à sa famille ? Personne. Mais parfois c’est nécessaire pour le bien de notre santé.

La réalité est que les membres de la famille ne sont pas toujours des gens sains pour vous, et si ces gens n’étaient pas de votre famille, vous ne les auriez jamais choisis pour faire partie de votre vie en raison de leurs mauvais comportements avec vous.

1. Abus mental et physique

Lorsque la relation est basée sur n’importe quel type d’abus mental, physique, sexuel, verbal ou émotionnel. Lorsque la relation est basée sur la manipulation, manifeste ou cachée, et que vous êtes utilisé et abusé. Lorsque vous vivez dans une anxiété constante, il est temps de vous aimer assez pour partir.

2. Un contact constamment négatif

Il est temps de mettre fin à la relation avec des membres de la famille lorsque le seul contact avec eux est négatif. Le contact que vous avez avec eux, sert toujours à vous rabaisser ou à vous faire sentir faible ou inférieur.

3. Beaucoup de stress

Lorsque la relation avec des membres de votre famille crée beaucoup de stress qui affecte les domaines importants de votre vie, au travail, à la maison ou les deux. Lorsque vos émotions sont totalement prises par le fait de vous défendre et de vouloir vous expliquer, il est temps de couper les ponts avec ces personnes.

4. Vous devenez obsédé par leurs ragots

Si vous vous trouvez obsédés par les ragots sur vous, que vous essayez de corriger les fausses informations, et que vous en perdiez même le sommeil, alors vous êtes envahis par la toxicité des membres de votre famille. 

5. Relation unilatérale 

Lorsque la relation tourne seulement autour de l’autre personne et qu’il n’y a aucune raison réelle pour laquelle l’autre ne peut faire aucun effort pour la santé et le maintien de la relation avec vous. Mais les relations unilatérales sont vouées à l’échec. Maintenant, vous devez commencer à vous concentrer sur votre propre guérison.

6. Quand la relation ne concerne que l’emprunt ou l’argent

Si vous voyez que les membres de votre famille ne vous contactent que pour leur propre intérêt, pour avoir ou emprunter de l’agent, sachez qu’ils sont toxiques à votre bien-être et ne font que profiter de votre générosité. 

Les personnes toxiques ne sont pas corrigeables

Ce n’est pas à vous de «corriger» les gens toxiques, même si ce sont des membres de votre famille. Les personnes toxiques créent des drames et vivent dans un monde de négativité et vous devez choisir vous-même si vous pouvez tolérer leur comportement pour toute une vie ou s’il est temps de faire de votre propre bien-être une priorité.

Cela peut signifier de passer moins de temps avec eux, de ne pas partager avec eux des informations personnelles ou de vous déconnecter entièrement, temporairement ou définitivement de leur vie.

Réaliser que le membre de votre famille n’est pas disponible ou ouvert à vous aimer pleinement et complètement, et à découvrir le fait que vous ne pouvez pas faire appel à lui ou lui faire confiance, est l’une des réalisations les plus difficiles de la vie.

Ce n’est pas parce qu’ils sont membres de votre famille que c’est une relation fondée sur l’amour mutuel, le respect et le soutien les uns envers les autres. Vous êtes une famille par le sang et cela peut être le seul lien qui existe dans votre relation. 

Vous avez le droit d’avoir une vie saine et heureuse

Vous méritez d’être traité avec amour et respect. Vous ne pouvez pas vivre sainement si vous êtes constamment envahi par leur toxicité.

Vous ne vivrez pas une vie positive que vous méritez dans l’entourage d’une personne toxique qui vous blesse délibérément et vous empêche de connaître le vrai bonheur.

Pratiquer l’amour de soi et prendre soin de soi chaque jour sera un nouveau concept pour vous, mais avec le temps, vous verrez et sentirez que c’est le bon pas vers une vie nouvelle et épanouissante.

Le conscient et l’inconscient travaillent de concert pour trier les images.

Notre cerveau est constamment bombardé d’informations sensorielles.

Loin d’être surchargé, le cerveau est un véritable expert dans la gestion de ce flux d’informations. Des chercheurs de Neurospin (CEA/Inserm) ont découvert comment le cerveau intègre et filtre l’information.

En combinant des techniques d’imagerie cérébrale à haute résolution temporelle et des algorithmes d’apprentissage automatique (machine learning), les neurobiologistes ont pu déterminer la séquence d’opérations neuronales qui permet au cerveau de sélectionner spécifiquement l’information pertinente.

La majeure partie de l’information est traitée et filtrée inconsciemment par notre cerveau. Au sein de ce flux, l’information pertinente est sélectionnée par une opération en trois étapes, et diffusée vers les régions associatives du cerveau afin d’être mémorisée.

Les chercheurs ont mesuré l’activité du cerveau de 15 participants, pendant que ces derniers devaient repérer une image « cible » dans un flux de 10 images par seconde . Les neurobiologistes ont ainsi pu observer trois opérations successives permettant aux participants de traiter et de trier le flux d’images :

► Même si une dizaine d’images est présentée chaque seconde, chacune de ces images est analysée par les aires sensorielles du cerveau pendant environ une demi-seconde. Ceci constitue une première phase de traitement automatique, inconscient et sans effort pour nous.
► Lorsqu’on demande aux participants de porter attention et de mémoriser une image en particulier, ce n’est pas uniquement l’image ‘cible’ qui est sélectionnée, mais toutes les images qui sont encore en cours de traitement dans les régions sensorielles. L’attention du sujet aura pour effet d’amplifier les réponses neuronales induites par ces images.
► La troisième phase de traitement correspond au rapport conscient du sujet. Seule l’une des images sélectionnées induit une réponse cérébrale prolongée et impliquant les régions pariétales et frontales. C’est cette image que le sujet indiquera avoir perçue.

« Dans cette étude, nous montrons que le cerveau humain est capable de traiter plusieurs images simultanément, et ce de manière inconsciente », explique le chercheur Sébastien Marti, qui signe cette étude avec Stanislas Dehaene, directeur de Neurospin (CEA/Inserm).

« L’attention booste l’activité neuronale et permet de sélectionner une image spécifique, pertinente pour la tâche que le sujet est en train d’accomplir. Seule cette image sera perçue consciemment par le sujet », poursuit le chercheur.
Assailli par un nombre toujours croissant d’informations, notre cerveau parvient ainsi, malgré tout, à gérer le surplus de données grâce à un filtrage automatique, sans effort, et un processus de sélection en trois phases.
Les avancées technologiques en imagerie cérébrale et dans les sciences de l’information ont donné un formidable coup d’accélérateur à la recherche en neuroscience, et cette étude en est un bel exemple.

Je te vois…..

« Je te vois » est pour moi sans conteste une des phrases les plus belles et les plus puissantes du film Avatar.
Je te vois tel que tu es tout au fond de toi, là où réside ton âme,
Je te vois sans te juger, sans te blâmer, en accueillant tout de toi,
Je te vois sans attendre quoi que ce soit de toi car mes attentes et mes projections pourraient t’abimer et voiler ton identité profonde,
Je te vois dans toutes tes dimensions et riche de toutes tes expériences,
Je te vois car je sais déjà que tu es un être complet et parfait,
Je te vois, c’est ma façon de t’accueillir sans conditions, et en faisant cela, je te permets à toi aussi de te voir et de t’accueillir tel que tu es,
Je te vois, c’est t’autoriser à être, à irradier, sans filtres, sans masques et sans peurs,
Je te vois 💗

Copyright © Géraldine Amelin 2018 -Tous droits réservés –


L’hpnose, un acte de Santé

Qu’est ce que L’hypnose ?

Le mot « hypnose » développe trois champs :

Un état particulier de la conscience,

Les techniques employées pour induire cet état

Les outils thérapeutiques utilisés dans le champ des Thérapies cognitivo-comportementales (TCC).

Lors d’un EEG (électro-encéphalogramme) qui mesure l’activité électrique du cerveau, nous remarquons que  l’état d’hypnose se caractérise par les ondes faibles de 4 à 7Hz.

Ces ondes, dites Thêta, correspondent à la phase du sommeil léger. Elles contiennent les mémoires et les sensations, elles gouvernent nos attitudes, croyances et comportements.

Les techniques utilisées pour induire cet état conjuguent, à partir d’un état de relaxation (ondes Alpha, de 8 à 13Hz) une forte concentration mentale et l’écoute de suggestions répétées et insistantes.

En définitive, l’hypnose n’est pas « d’endormir » quelqu’un, mais à partir d’un état de relaxation, « l’empêcher » de s’endormir. L’aider à se maintenir entre la veille et le sommeil.

Ce que l’école ericksonienne appelle un état intermédiaire.

N’est-ce pas dangereux puisque le spécialiste peut manipuler la personne dans le sens qu’il veut ?

Aucune étude ne montre une action contre nature sous un état hypnotique

La plupart de grands manipulateurs n’ont pas besoin d’hypnose pour exercer leurs actions préjudiciables à leurs victimes.

C’est un faux procès que l’on retrouve dans la littérature et les œuvres de fiction à la télé ou au cinéma. (exemples : du Docteur Mabuse de Fritz Lang (1932) à Zelig de Woody Allen (1983), en passant par le Livre de la jungle (avec le serpent Kaa et son célèbre chant « aie confiance… »)

L’hypnothérapeute se doit de suivre une déontologie, une éthique. Il s’agit du fondement de tout acte thérapeutique. Il possède pour référence Bernheim, Charcot, ou plus récemment : Milton Erickson, Léon Chertock…

L’hypnothérapeute est un guide dans le soin d’un patient. Il aide le patient à trouver les clefs pour résoudre tels ou tels problèmes. C’est le patient qui choisit, qui découvre en lui certaines ressources qu’il ignorait jusque-là.

L’hypnothérapeute doit ressentir et percevoir finement les sensations qu’éprouve son patient.

Sa principale qualité est une forte empathie envers son patient.

Quelles sont les indications de l’hypnose ?

L’hypnose étant un outil de TCC (Thérapies cognitivo-comportementales), toutes les maladies mentales pour lesquelles l’efficacité des TCC est attestée figurent dans la nosographie de l’INSERM :

l’agoraphobie, les attaques de panique, les troubles anxieux, les phobies sociales, le syndrome de stress post-traumatique, les obsessions-compulsions, les dépressions ambulatoires d’intensité moyenne, du sujet âgé et hospitalisé, la prévention du suicide, le trouble de la personnalité borderline, le syndrome de fatigue chronique, l’insomnie,  Alcoolisme / Toxicomaniesla boulimie

L’hypnose repose sur la prise de conscience du moment présent. Les sources des anxiétés, angoisses ne se trouvent jamais dans le présent. Soit elles sont inconnues, et donc génèrent la peur de les découvrir dans le futur, soit elles sont connues (par le passé) et nous trouvons la peur de les retrouver (dans le futur).

Dans un état hypnotique, nous pouvons ressentir plus finement le moment présent. Dans ce ressenti, un sentiment immédiat de paix prend place. Il suffit alors d’ancrer par la répétition (comme un comédien répète une scène pour construire un personnage) ces sensations. Une fois fortement mémorisées, ces images viendront aider le patient dans la maîtrise des émotions négatives qui peuvent à un moment surgir.

Dans la définition de la santé de l’OMS, « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité », nous trouvons l’idée de bien-être.

L’hypnose sert de guide, de maîtrise  et du maintien du bien-être.

Le champ d’application de l’hypnose est justement la maîtrise du bien-être.

Renforçant notre système immunitaire, son action aide l’organisme à combattre la maladie dans sa nature et dans son traitement.

Mais encore une fois, il s’agit d’un travail en soi et pour soi dans la durée.

Quelles différences entre hommes et femmes ?

À la fin des années 1950 le psychiatre américain E. Hilgard et le psychologue canadien A. Weitzenhoffer (laboratoire de recherche sur l’hypnose de l’université de Stanford aux USA), ont mis au point une échelle d’«hypnotisabilité» fondée sur une mesure précise de la réponse individuelle à une liste de suggestions standardisées.

On va d’abord établir que dans la population générale 25 % des individus ont une très forte capacité à être hypnotisés, 50 % l’ont moyennement, et 25 % l’ont très peu.

On peut remarquer que les femmes sont plus suggestibles que les hommes, et que la suggestibilité d’un individu diminue avec l’âge.

Et les enfants ?

Dès qu’un individu est capable de se concentrer, les techniques hypnotiques classiques  peuvent être mises en place. Nous pouvons dire qu’à partir d’environ 8 ans, un enfant est capable de travailler l’autohypnose et comprendre la relation du soin.

Quelle reconnaissance officielle ?

Tout dépend des pays. Elle est hétérogène.

Bien que la France soit le berceau de l’hypnose (Bernheim à Nancy, Charcot à la Salpétrière) L’hypnothérapie n’est pas encore inscrite au RNCP (Le répertoire national de la certification professionnelle).

La notion de thérapeute reste trop floue en France. Donc la reconnaissance est prudente. Elle est nécessaire, car c’est un plus indispensable qui ne devrait pas tarder.

Peut-on opérer sous hypnose ?

Le Professeur Marie-Elisabeth Faymonville du CHU de Liège a introduit l’hypnose en anesthésie en 1992. Elle l’a initié principalement pour des opérations de thyroïde et pour des tumorectomies du sein, mais également pour la chirurgie plastique et abdominale.

Il s’agit en fait d’hypnosédation : les techniques hypnotiques sont induites suite à une anesthésie locale. Le patient lâche prise de la réalité (son intervention) pour voyager dans son imaginaire, dans un endroit agréable préalablement choisi. 

L’implication du patient est primordiale dans l’hypnosédation.

Ce type d’anesthésie permet de ne pas ressentir les désagréments postopératoires d’une anesthésie générale.

Selon le Professeur Marie-Elisabeth Faymonville : «  un patient sur quatre ressent encore les effets de l’anesthésie générale des semaines après l’opération. Avec l’hypnosédation, la personne est moins stressée et se remet plus rapidement. Elle cicatrise plus facilement et son corps n’a pas à supporter les substances chimiques lourdes utilisées pour l’anesthésie générale. »

C’est aussi un travail de toute l’équipe médicale. L’ambiance au bloc est plus calme et attentive au repos particulier du patient.

Si le patient n’arrive pas à lâcher prise, tout est prévu pour l’anesthésier entièrement.

Ce type d’intervention se développe de plus en plus en France.

Quelles différences entre hypnose et sophrologie ?

L’hypnose est la mère de la sophrologie.

La sophrologie a été créée en 1960 par Alfonso Caycedo, un médecin neuropsychiatre colombien ayant étudié l’hypnose.

La différence notable est celle de l’état proprement dit :

– l’état sophronique est un état de relaxation dont les ondes cérébrales dominantes se situent dans la plage des 8 et 10 Hz (ondes alpha).

– l’état hypnotique varie entre 4 et 7Hz (ondes théta).

Les approches techniques sont aussi différentes quand l’un va se centrer sur la concentration de suggestions insistantes, l’autre va se diriger vers une écoute de son état de relaxation, tout en l’évaluant.

La Sophrologie, tout ce que vous ne savez pas.

On croit tout savoir de la sophrologie et pourtant elle conserve une image floue auprès du grand public, allant de l’ésotérisme à la relaxation, en passant par l’hypnose.

On croit tout savoir de la sophrologie et pourtant elle conserve une image floue auprès du grand public, allant de l’ésotérisme à la relaxation, en passant par l’hypnose.

A la fin des années soixante, son créateur, le neuropsychiatre Alfonso Caycedo, notant la rupture de la conscience chez ses patients, choisit d’étudier les pratiques orientales sur la conscience et de trouver une approche alternative à la camisole chimique ou aux électrochocs, trop violents et réductifs à son goût et sans espoir d’évolution positive.

Dans cette optique, la sophrologie est créee en opposition à la schizophrénie, l’un étant l’étude de l’équilibre de la conscience, le second étant la rupture de la conscience. Précurseur, Caycedo décèle les nouvelles maladies de civilisation dues au stress, au déséquilibre du corps et de l’esprit et étend le champ de la sophrologie neuropsychiatrique au bien-être physique, émotionnel et mental de chacun.

La sophrologie agit sur le corps et l’esprit

Rassemblant les techniques de relaxation de Schultz et de Jacobson pour le corps, l’hypnose, la visualisation, les techniques « concentratives » de méditation pour le mental, les exercices de respiration des yogis pour les émotions, la sophrologie agit sur le corps et l’esprit. La relaxation dynamique, composante applicative et dynamique de la sophrologie, réhabilite la réalité objective de notre schéma corporel (réalité qui n’est plus accessible au schizophrène) et stimule les méridiens qui traversent notre organisme, libérant ainsi un nouvel état de bien-être corporel et mental.

Bien dans sa tête et dans sa peau en toutes situations

La pratique répétée de la sophrologie produit de nouvelles stimulations neuronales dans notre cerveau. Le bien-être ressenti et intégré en fin de séance de sophrologie nous donne rapidement envie de pratiquer à nouveau…enfin une addiction sans effet toxique à la clé! Nous ressentons alors un état harmonieux résultant de l’équilibre du corps et de l’esprit, cette sérénité qui nous fait tant défaut dans notre vie stressante ou lors de douleurs chroniques. Être bien dans sa tête et dans sa peau en toutes situations pourrait être le credo de la sophrologie.

Quand la sophrologie augmente le potentiel et la performance

Ce sont les sportifs de haut niveau qui se sont rapidement approprié les bénéfices de la pratique de la sophrologie en préparation mentale, ainsi que les étudiants pour optimiser leurs réussites aux concours. Chacun redoute le stress qui paralyse. Les dirigeants en ont vu leurs intérêts pour faciliter leurs prestations professionnelles devant public, leurs confiances en eux, leurs créativités, idem pour les artistes.

Le mythique golfeur espagnol Ballesteros, élève de Caycedo, les tennismen comme Noah et maintenant Tsonga, les équipes de ski, même de football, joueurs de bridge, sports équestres, musiciens, chanteurs (la sophrologie aide les apprentis de The Voice à gérer leur trac lors des directs), les acteurs, tous pratiquent la sophrologie.

Mais aussi dans un domaine plus secret le GIGN, les commandos avec le programme TOP (Techniques d’Optimisation du Potentiel), cette sophrologie adaptée aux militaires permet à chacun d’optimiser ses ressources avant, pendant et après les missions. Leurs objectifs: tirer parti du plus de la sophrologie; à savoir, être le plus serein et en même temps le plus réactif en fonction de la situation. Un mot-clé de la sophrologie est l’adaptabilité. Souvent pour décrire cette hyper-sensation, je donne l’image d’un lion dans la savane, calme mais suffisamment vigilant pour piquer un sprint à tout moment opportun. La sophrologie, combinant des exercices spécifiques de respiration et de visualisation, offre une efficace gestion du stress pour une meilleure performance.

Quand la sophrologie prête main forte à la médecine de pointe

Parallèlement les dentistes et les sages-femmes ont diffusé les techniques de sophrologie pour la gestion de la douleur. Et même si depuis, les molécules anesthésiantes se sont diversifiées, la gestion de la douleur par la sophrologie reste un recours précieux pour les patients en douleurs chroniques, que la chimie, la morphine ne soulage plus.

Les migraineux chroniques trouvent aussi dans la sophrologie une ressource au-delà de leurs croyances. La mobilisation du système nerveux autonome lors des exercices spécifiques de respiration pendant une séance de sophrologie devient un anti douleur, disponible 24h sur 24h, où que l’on soit en réunion, en déplacement, au travail, dans son lit.

Depuis quelques années, se basant sur les résultats positifs des sportifs de haut niveau, qui ont eu un accident et récupèrent infiniment mieux quand ils pratiquent la sophrologie, des protocoles pour les cancers, les opérations délicates bouleversent positivement les statistiques de récupération et deviennent une approche complémentaire indispensable pour rétablir un équilibre corps-esprit.

La sophrologie utilisant l’activation de la pensée par la pleine conscience de l’attention, c’est-à-dire canaliser sa pensée à l’instant présent sur une partie du corps, une image ou un mot, s’est révélée intéressante dans les troubles de l’attention, les hyperactifs, Alzheimer. La sophrologie, tout comme la méditation, se montre applicable dans les nouvelles maladies.

Quand la sophrologie résonne pour soigner les bleus de l’âme 

Troubles des émotions, troubles de l’humeur, dépression, deuil, angoisse, phobie, bégaiement, acouphènes, mais aussi tout ce qui touche le soma, c’est-à-dire tous les maux qui s’expriment par le corps à la place de vos mots, spasmophilie, malaise vagal, trouvent en la sophrologie et grâce à l’alliance faite avec le sophrologue une résonance d’amélioration vers un mieux-être.

Les compagnies aériennes ont compris l’intérêt d’intégrer les séances de sophrologie dans leur stage de gestion de la peur de l’avion.

Pour finir cette approche non exhaustive de la sophrologie et parce que la demande est en constante augmentation, même chez les enfants, savez-vous que la sophrologie est une solution idéale pour retrouver votre sommeil. Solutions étudiées et mesurées dans les centres de sommeil, intégrées dans les stages de sommeil et que vous pouvez apprendre avec votre sophrologue.

A chacun sa sophrologie

Le sophrologue pratique avec vous, adapte un protocole spécifique à vous. Chaque séance de sophrologie est riche de clés. Pratiquer cinq à dix séances, permet de laisser son corps et son esprit s’approprier de multiples solutions. Car l’enjeu de la sophrologie, c’est de nous rendre autonome, libre, à nouveau créateur de nouvelles possibilités pour notre santé, notre vie, nos émotions.

Nous sommes à votre écoute au « Choix de l’être »

Pour toute information complémentaire ou rdv contactez Philippe lantelme

Merci de votre confiance

Pourquoi est-il important d’arrêter de se plaindre ?

Pourquoi se plaindre ? 

Tout le monde connait ce comportement comme témoin. J’ai moi-même pratiqué l’exercice en vrai « professionnel »! 

Combien de fois avons-nous dû écouter certaines personnes se plaindre, avec ou sans raison, et écouter à quel point leur vie est difficile, comme il est compliqué de sortir chaque jour pour lutter et toute la malchance qu’ils ont eue….. à cause des « autres ».

« Se plaindre est toujours la non-acceptation de ce qui est. Il porte toujours une charge négative inconsciente. Lorsque vous vous plaignez, vous faites de vous une victime. Quittez la situation ou acceptez-là. Tout le reste est folie. »
– Eckhart Tolle

Se plaindre est, sans aucun doute, la mère des problèmes émotionnels contemporains. Il ne fait aucun doute que de stopper ce type de stratégies en se focalisant sur l’instant présent, en prenant vraiment conscience du bonheur de simplement respirer, de plus en plus de personnes pourraient se sentir de mieux en mieux, facilement.

Nous vivons à une époque dans laquelle plus les gens ont de choses et de facilités, moins ils sont heureux. La consommation d’antidépresseurs et autre somnifères est scandaleusement importante; les dépendances diverses sont bien trop fréquentes.

J’en ai été un témoin actif.

Nous nous sommes habitués à avoir besoin de toujours plus et d’en faire tout un drame lorsque cette nécessité, cette invention, de besoins non vitaux inventés de toutes pièces, ne produit qu’une satisfaction éphémère: c’est la société « dopamine ».

Les neurosciences et les connaissances que nous avons du fonctionnement du cerveau démontrent clairement que changer est possible. C’est un choix dont chacun dispose.

Comment sont les personnes râleuses ?

Elles voient toutes les choses de façon négative et disposent de ressources intarissables pour utiliser une paire de lunettes de couleurs sombres avec verre déformant. C’est leur carte du monde, peut-être la vôtre.

Les personnes qui se plaignent ne sont jamais satisfaites de rien. Elles désirent quelque chose, se plaignent si elles ne l’obtiennent pas, et lorsqu’elles l’obtiennent, elles se plaignent de nouveau.

Que la situation qu’elles vivent soit positive ou qu’elles aient vécu de grandes réussites personnelles ou professionnelles; le « Oui, mais… » est très utilisé par celles et ceux qui aiment à se plaindre!

Au final, cette attitude les empêche de profiter de quoi que ce soit et les rend aigries envers elles-mêmes et envahissent l’humanité avec leur toxicité. Les personnes dépendantes affectives dans leurs relations connaissent très bien le sujet… je connais très bien le sujet.

Elles ne cherchent pas de solutions ou font semblant de les rechercher : Il est bien plus facile de déblatérer, de critiquer ou de dilapider sur ce qui ne s’est pas passé comme on l’aurait voulu que de chercher des solutions pour changer ce qui est rattrapable. Chercher des solutions aux problèmes implique d’arrêter de tomber dans la victimisation et de commencer à se battre pour ce que l’on veut, ce qui requiert un effort que de nombreuses personnes ne sont pas disposées à faire.

Encore une fois par exemple dans une  relation sentimentale toxique, la recherche de solution peut être simplement un moyen de manipuler. C’est pervers, mais ça existe.

Elles cancanent et critiquent : Les personnes râleuses sont, en général, critiques envers les autres et envers les circonstances de leur vie, ce qui est dû à leur propre malheur et leurs propres carences. Rappelons-nous qu’en critiquant les autres, nous critiquons en réalité nos propres défauts.
Le problème ne réside pas dans la critique ou dans ce qui leur est arrivé, non, mais en elles-mêmes, car elles ne savent pas apprécier ni valoriser les belles choses de la vie en général et les belles choses que les autres leur apportent. Leur attention est totalement centrée sur ce que ces personnes considèrent comme négatif et elles sont donc incapables de voir le côté positif de toute chose.

Elles n’acceptent pas d’entendre que changer est possible : Pour ce genre de personnes, l’acceptation ne fait pas partie de leur vie.

Elles ne peuvent pas tolérer que les choses ne se déroulent pas comme elles le souhaitent et se disent qu’il est insupportable, intolérable et désastreux que le monde fonctionne de la sorte !

J’ai fonctionné ainsi et je peux affirmer que dès que j’ai décidé de changer, je n’ai plus perçu le monde de la même manière. J’ajoute que modifier certains comportements modifie votre signature énergétique et votre environnement se transforme également, comme la perception du monde qui vous entoure.

C’est une expérience que j’invite à vivre à tous ceux qui ne l’ont pas encore vécu.

Raisonner de cette façon empire leurs problèmes et les empêche, évidemment, de trouver des solutions, ce qui engendrera une grande anxiété et une souffrance importante ressentie dans le corps avec un système endocrinien qui va être dysfonctionnel.

Que faire pour arrêter de se plaindre ?

  1. Stop au jugement : vous n’êtes le juge de rien du tout, ni de personne, alors le plus intelligent et sensé et de ne rien dire de temps en temps et de s’adapter aux circonstances. Quand vous jugez quelque chose ou quelqu’un, c’est vous-même que vous jugez. Cherchez bien, en vous observant dans un miroir… ce qui est encore inconfortable chez vous…
  2. « Je m’aime et me respecte totalement et complètement » : Cette phrase utilisée en EFT prend tout son sens. L’acceptation est une soin coloré puissant qui permet d’obtenir la paix intérieure et plus de bonheur. Si nous nous rendons compte qu’il y a de nombreuses situations, personnes ou événements sur lesquels nous n’avons aucun pouvoir ou contrôle, nous apprendrons à réduire nos attentes et accepter les choses comme elles viennent.
  3. Stop aux pensées négatives : les mots sont le produit de nos pensées, de ce que nous nous disons à nous-mêmes. Nos pensées seront notre réalité future. Si nous savons combattre les idées négatives et irrationnelles, il sera très difficile de tomber dans la victimisation, les critiques et la plainte continue. Les exercices d’automotivation par une routine différente et la création de phrases positives à répéter plusieurs fois par jour et un outil efficace pour changer. Faire comme si est excellent pour amorcer le changement.
  4. Focus sur le positif : toute chose a un côté positif, tout n’est qu’information. Si vous faites un effort conscient et que vous commencez à énumérer tout le positif qu’il y a dans votre vie, vous vous rendrez compte qu’il y a plus de choses belles et agréables que vous ne le pensiez. Observez les choses sous un autre angle, changez la couleur et la correction de vos lunettes déformantes. Le changement, votre changement, commence toujours en soi-même, non à l’extérieur.

Et vous, jugez-vous encore facilement ? Que détestez-vous encore en vous-même pour continuer de la même manière inconfortable pour vous et surtout pour le monde ? Ce comportement est votre miroir !

Ne perdez pas de temps à haïr ceux qui vous font du mal ….

Ignorez-les et poursuivez votre chemin…..

Il est arrivé à tout le monde, tôt ou tard, de s’enflammer par une offense reçue, ou, en général, d’être en colère contre le comportement de quelqu’un.

Parfois, on a rendu la pareille, en réponse de notre orgueil blessé ; mais parfois, on s’est retenu, en écoutant les sages paroles  : « Laisse tomber, ignore-le ».

Dans le premier cas, on a sans doute aggravé la situation et on s’est énervé ; dans le second cas, on a agi comme il le fallait – au moins comme nous l’enseigne la philosophie bouddhiste.

Avec un récit très simple, celle-ci nous montre comment notre bonheur dépend parfois du fait d’ignorer les autres.

Un jour, un homme s’approcha de Bouddha et, sans dire un mot, lui cracha au visage.

Ses disciples se mirent en colère.

Ananda, le disciple le plus proche, demanda à Bouddha

« Donne-moi la permission de donner à cet homme ce qu’il mérite ! »

Bouddha s’essuya calmement et répondit : « Non, je vais lui parler. »

Unissant les paumes de ses mains en signe de révérence, il dit à l’homme : « Merci.

Par ton geste, tu m’as permis de voir que la colère m’a abandonné.

Je te suis extrêmement reconnaissant.

Ton geste a aussi montré qu’Ananda et les autres disciples peuvent encore être assaillis par la colère.

Je te remercie ! Nous t’en sommes très reconnaissants ! »

L’homme n’en croyait pas ses oreilles, et il fut ému : la nuit, il fut pris d’un tremblement dans tout son corps et ne put dormir.

Bouddha avait balayé toute sa façon de vivre et d’agir.

Le lendemain, l’homme retourna vers le Bouddha et, se jetant à ses pieds, demanda pardon pour son comportement.

Mais le maître lui expliqua qu’il n’y avait rien à lui pardonner : « De même que le courant du Gange fait en sorte que son eau ne soit plus jamais la même, de même l’homme n’est plus le même qu’avant. Je ne suis plus la même personne à qui tu as fait quelque chose hier. Et même celui qui m’a craché dessus hier n’est plus. Je ne vois personne en colère comme lui. Maintenant tu n’es plus le même homme qu’hier, tu ne me fais plus rien, donc il n’y a rien que je doive te pardonner. Les deux personnes, l’homme qui a craché et l’homme qui a reçu le crachat, ne sont plus là. Maintenant, parlons d’autre chose. »

Le récit enseigne que l’honnête personne qui est dans le juste n’a pas besoin de réagir aux offenses, car elles sont le fruit de ceux qui ont une image déformée de la réalité.

Par conséquent, ne lui donnez pas d’importance, en laissant modifier votre équilibre psychologique. Tout change et il faut avoir l’intelligence de le comprendre, et ne pas se fâcher pour quelque chose qui n’existe plus dans le présent.

A cette fin, il peut être utile d’adopter la technique de « l’acceptation radicale » : développée par la psychologue Marsha M. Linehan de l’Université de Washington, elle implique de laisser de côté les jugements.

En fait, si quelqu’un nous offense, c’est parce que nous nous attendons à quelque chose de très différent.

La distance psychologique nous protège d’une situation qui pourrait nous nuire sur le plan émotionnel.

Un concept universel, et peut-être plus clairement compréhensible avec les mots du Bouddha.

Des Guérisseurs et Coupeurs de feu, font leur rentrée à l’hôpital.

Accompagnés de quelques incantations, les gestes des rebouteux stopperaient les brûlures… Surprenant, mais certains hôpitaux les recommandent !

Ce reportage heurtera peut-être les plus cartésiens d’entre nous. Mais les guérisseurs ont toujours occupé une place centrale et, malgré les progrès de la science et de la médecine, de nombreux français font toujours appel à eux. Plus fort encore : depuis quelque temps, même les hôpitaux recommandent parfois le recours à ce type de service ! C’est ce que démontre cette étonnante enquête de France 2.

Ici, les journalistes se sont plus particulièrement penchés sur le cas des coupeurs de feu, ces rebouteux qui, à l’aide de quelques mouvements et de brèves incantations, seraient capables de mettre fin à une brûlure. Même celle qu’occasionne une radiothérapie.

Nous sommes nombreux à connaître des gens qui assurent avoir été guéris grâce à ce type de « soins ». Ce qu’on ne savait pas, c’est que mêmes des médecins se laissaient aussi convaincre.

Détails et explications dans ce reportage signé par la rédaction de France 2 .

Alors, pouvoirs surnaturels ou pouvoir de l’auto-suggestion ? 

Chacun se fera son idée au regard de ses propres croyances et expériences.

Mais, après tout, personne n’est obligé de trancher : on peut aussi laisser la place au doute

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Alors, pouvoirs surnaturels ou pouvoir de l’auto-suggestion ? 

Chacun se fera son idée au regard de ses propres croyances et expériences.

Mais, après tout, personne n’est obligé de trancher : on peut aussi laisser la place au doute

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Comment changer ses pensées négatives en pensées positives

Il y a une théorie selon laquelle, l’accumulation de « micro-moments de positivité » dans la journée peut au fil du temps, provoquer un bien-être plus général.

Notre capacité à générer des émotions positives de nos activités quotidiennes peut être déterminant. Ces brefs instants de sentiments positifs, en se répétant,  peuvent agir comme un tampon contre le stress et la dépression et, au final, favoriser la santé tant physique que mentale.

Cela ne veut pas dire qu’il faut toujours être positif pour être en bonne santé et heureux. De toute évidence, il y a des moments et des situations qui entraînent naturellement des sentiments négatifs, même pour les plus optimistes d’entre nous. L’inquiétude, la tristesse, la colère et autres soucis ont leur place dans une vie normale.

Mais l’affichage chronique du « verre à moitié vide » est préjudiciable à la fois mentalement et physiquement, cela inhibe nos capacités de réaction face aux contraintes inévitables de la vie.

Les sentiments négatifs activent une région du cerveau appelée l’amygdale, qui est impliqué notamment dans le traitement de la peur et de l’anxiété.

Il a été démontré que la capacité « plastique » du cerveau, est capable de générer de nouvelles cellules neuronales et de former de nouveaux circuits de réponses positives, avec de l’entraînement.

Autrement dit, une personne peut apprendre à être plus positive en pratiquant certaines compétences qui favorisent la positivité.

Apprendre à positiver avec la méditation

Par exemple, l’équipe du Dr Fredrickson a révélé que six semaines de formation à une technique de méditation portée sur la compassion et la gentillesse, ont donné lieu à une augmentation des émotions positives et d’appartenance sociale, ainsi qu’une amélioration des fonctions de l’un des principaux nerfs qui aident à contrôler la fréquence cardiaque.

La fréquence cardiaque varie alors davantage. D’apès Fredrickson, cela permet un meilleur contrôle de la glycémie, moins d’inflammation et une récupération plus rapide après un infarctus.

L’équipe du Dr Davidson a montré que deux semaines de formation à une méditation de compassion et de bonté, suffisent à générer des changements dans les circuits cérébraux liés à une augmentation des comportements sociaux positifs comme la générosité.

10 citations de Carl Gustav Jung

Carl Gustav Jung est le fondateur de la psychologie analytique et penseur influent, il est l’auteur de nombreux ouvrages.

Son œuvre est liée à la psychanalyse de Sigmund Freud dont il a été l’un des premiers défenseurs et dont il se sépara par la suite en raison de divergences théoriques et personnelles.

Dans ses ouvrages, il mêle réflexions métapsychologiques et pratiques à propos de la cure analytique. Jung a consacré sa vie à la pratique clinique ainsi qu’à l’élaboration de théories psychologiques, mais a aussi exploré d’autres domaines des humanités : depuis l’étude comparative des religions, la philosophie et la sociologie jusqu’à la critique de l’art et de la littérature.

Il a été un pionnier de la psychologie des profondeurs :

il a souligné le lien existant entre la structure de la psyché (c’est-à-dire l’« âme », dans le vocabulaire jungien) et ses productions et manifestations culturelles.

Il a introduit dans sa méthode des notions de sciences humaines puisées dans des champs de connaissance aussi divers que l’anthropologie, l’alchimie, l’étude des rêves, la mythologie et la religion, ce qui lui a permis d’appréhender la « réalité de l’âme ».

Si Jung n’a pas été le premier à étudier les rêves, ses contributions dans ce domaine ont été déterminantes. On lui doit également, entre autres, les concepts d’inconscient collectif , d’archétypes , d’individuation , de types psychologiques , de complexe , d’ imagination active de déterminisme psychique et de synchronicité.

L’empathie, un sentiment très animal.

Des oiseaux sensibles au stress de leur partenaire, des rats qui sauvent leurs congénères de la noyade…

La faculté de ressentir les émotions d’autrui, longtemps attribuée uniquement à l’homme, est en réalité partagée par bien des espèces.

Dans un couple soudé de diamants mandarins, ( voir photo oiseaux ) la femelle qui détecte un stress chez son partenaire l’éprouve à son tour.

En revanche, l’angoisse ressentie par un mâle étranger n’a aucune chance de l’affecter.

Chez le rat, les femelles font davantage preuve d’empathie que les mâles

Étudier l’empathie chez les animaux domestiques n’est cependant pas une mince affaire. Par quelles manifestations physiologiques, quels comportements s’exprime-t-elle ? « Nous n’en sommes encore qu’au tout début des connaissances, sachant qu’on a longtemps cru que cette qualité était réservée aux humains », souligne Claude Paolino, zoo-psychiatre dans le Var. Animaux de laboratoire types, les rats ont toutefois fait l’objet de nombreuses recherches sur leurs capacités d’entraide.

Les poissons sont ainsi dotés d’une des formes les plus primitives de l’empathie, qui se manifeste par l’imitation et la synchronisation des comportements. Ce qui assure une protection contre les prédateurs. Un poisson ressent un danger… et c’est tout le banc qui fuit ! Une stratégie de défense également observée chez les chevaux. En cas de menace, il suffit qu’un individu détale pour que sa réaction se propage immédiatement au groupe. Ce comportement relève plus précisément de la « contagion émotionnelle » qui consiste, selon les mots du neurologue Jean Decety, professeur à l’université de Chicago (États-Unis), en un « transfert d’émotion d’un individu à l’autre ». Il permet au banc ou au troupeau d’apprendre de quelques-uns de ses membres qu’une situation est sûre ou dangereuse sans avoir à l’expérimenter directement

L’un des critères d’évaluation du bien-être animal dans les élevages est d’ailleurs la transmission d’émotions positives. C’est ce qu’Inonge Reimert, chercheuse en neurosciences à l’université Wageningen aux Pays-Bas, a étudié depuis 2010 pour les porcs, à travers diverses expériences. Des paires de cochons ont ainsi été soumises soit à un traitement positif – enclos avec litière de tourbe et paille ainsi que friandises (raisins secs, chocolat) -, soit à un traitement négatif d’isolement social. Puis les binômes ont été conduits dans une salle de test où les retrouvaient d’autres porcs, dits naïfs. Les chercheurs ont alors observé que les animaux bien soignés jouaient et remuaient la queue, tandis que ceux qui avaient été négligés étaient en alerte, urinaient et déféquaient plus fréquemment. Il est également apparu que leurs comportements affectaient leurs congénères naïfs par contagion émotionnelle. Et dans le cas du traitement négatif – qui impactait plus fortement les autres cochons -, l’effet de stress se prolongeait après la fin de l’expérience. De quoi s’interroger sur les pratiques d’élevage qui concentrent dans de mêmes enclos un très grand nombre d’animaux en souffrance.

Étudier l’empathie chez les animaux domestiques n’est cependant pas une mince affaire. Par quelles manifestations physiologiques, quels comportements s’exprime-t-elle ? « Nous n’en sommes encore qu’au tout début des connaissances, sachant qu’on a longtemps cru que cette qualité était réservée aux humains », souligne Claude Paolino, zoo-psychiatre dans le Var. Animaux de laboratoire types, les rats ont toutefois fait l’objet de nombreuses recherches sur leurs capacités d’entraide.

Alors, Preuve est faite que l’empathie touche tout le règne animal, dont l’humain fait évidemment partie !

Le burnout maladie des temps modernes !

Le burnout concerne pas moins de 3.2 millions d’actifs en France et n’est toujours pas reconnu au titre de maladie professionnelle. Le pire est qu’il touche les employés les plus dévoués et investis…

Le burnout, ou épuisement professionnel, est en pleine explosion dans notre pays. Les candidats au développement de cette maladie professionnelle ne sont pas moins de 3,2 millions en France, selon une étude récente .

Pourtant le burnout ne figure toujours pas au registre des maladies professionnelles reconnues par l’administration. Le sujet récemment évoqué à l’assemblé nationale, a finalement été rejeté. Pourtant cette reconnaissance favoriserait la prise en charge de la maladie et permettrait un meilleur soutien financier pour le malade.

Le Burnout : la maladie du siècle

Le burnout, en français le Syndrome d’épuisement professionnel, sont des termes qui apparaissent au tout début des années 70. Ils sont alors employés pour qualifier l’état d’affaiblissement général et psychique constaté chez les professionnels dont le métier demande beaucoup d’abnégation : médecins, infirmières, travailleurs sociaux ou enseignants.

Maintenant, on sait que le syndrome d’épuisement professionnel touche tous les secteurs d’activités, bien que certains soient bien plus affectés que d’autres. Les exigences professionnelles sont de plus en plus fortes.

Compétitivité et résultats financiers sont les bourreaux modernes du monde du travail.

D’ailleurs, la société ne porte même plus l’idée du bonheur au travail. Les préoccupations du jour pour les décideurs politiques sont par exemple : le coût que représente le niveau du smic pour les entreprises…

Les symptômes du burnout

Encore assez peu connu dans la population, la personne atteinte peut croire à une simple dépression légère à modérée, puisqu’il ne présente pas l’ensemble des symptômes du dépressif.

Il développe par contre d’autre symptômes, propres au burnout: un état d’épuisement mental, physique et émotionnel grave qui survient petit à petit, sournoisement, après de longs mois voire des années d’exposition à des situations de stress intense.

Un jour, l’épuisement est devenu total.

La personne est alors littéralement clouée au lit ou dans son canapé des journées entières, jusqu’à ce qu’elle accepte de se soigner. La situation est effrayante pour le malade ainsi diminué : lui qui débordait d’énergie au travail se retrouve sur les genoux, incapable de se relever. Il est alors en proie à l’angoisse en face du vide que représente son inaction.
Sa capacité de raisonnement s’est évanouie, les décisions les plus élémentaires s’avèrent impossibles à prendre. La mémoire fait défaut. Tenir une conversation est pénible. Des choses simples comme écrire, prendre sa voiture, utiliser un ordinateur plongent le malade dans la panique.
Jusqu’au jour où le corps lui aussi déclare forfait. Des douleurs surgissent et différents troubles psychosomatiques apparaissent, comme des messages que le cerveau transmet à travers le corps du malade qui n’entend pas raison.
Qui est concerné?

Une étude récente met en évidence que 3,2 millions d’actifs déclarent être soumis fréquemment à un stress important ou modéré, lié au travail qu’ils occupent.
Ce syndrome concerne les professionnels les plus dévoués qui aiment profondément leur métier. Ceux dont l’investissement au travail est important, trop important. Dans certaines catégories professionnelles les gens sont plus exposés au stess et donc au burnout.
Si l’employé dévoué manque de reconnaissance de sa hiérarchie et/ou de son environnement professionnel, les conditions propices sont réunies pour le faire plonger.
Comment en arrive-t-on là ?
Le burnout est une « déflagration interne » ou implosion, résultant d’une rencontre passionnée et passionnelle entre :
un candidat passionné bourré de talent et de générosité
un projet professionnel qui inspire le dépassement de soi et demande d’être performant
Il existe des facteurs personnels qui favorisent cette implosion :
une tendance au perfectionnisme
une exigence exacerbée
le peu d’estime de soi
un niveau d’anxiété anormal
certaines formes de rigidité
des difficultés à percevoir et exprimer les émotions
des comportements de type « sauveur »
un sentiment de devoir « donner sa vie pour les autres »
L’épuisement professionnel est la conséquence d’une fracture entre la personne et son intériorité. Ses valeurs profondes n’ont plus leur place dans son environnement professionnel. C’est une véritable négation de la personne dans ce qu’il a de plus humain. C’est trop largement insupportable pour que le cerveau s’en accommode : il développe la maladie.

L’engrenage est presque inévitable, il est en tout cas très fort. Ce qu’il y a de plus humain en nous ne peut être délibérément mis de côté sans que des dommages importants en découlent. Croire le contraire est idiot et dangereux.
Comment s’en sortir ?
Il faut prendre les signaux d’alarme au sérieux. Dès lors que « cet état dépressif latent » s’est installé, il faut consulter son médecin. Entrer dans une démarche de soins et bien sûr : s’arrêter un temps de travailler pour s’occuper de soi avec bienveillance, comme on le fait pour ceux que l’on aime.
Il faut simplement s’arrêter de courir pour souffler un bon coup. Laisser le silence, le vide puis le doute s’installer. Viendra ensuite le temps de la remise en question.

Quand enfin, le miraculé a identifié les éléments déclencheurs du burnout; puis réorienté sa vie pour renouer avec ses valeurs profondes qui sont sa force,  il retrouve son humanité et la santé.
Le problème est identifié
Le monde du travail devient de plus en plus exigeant, de plus en plus impitoyable. Des gens volontaires et dévoués sont broyés sur l’édifice de la sacro-sainte rentabilité économique.
Une toute petite partie de la population tire des bénéfices de cette situation. Mais… rien n’est acquis, rien n’est définitif.

Faites très attention, le burnout, on y vient malgré soi, on y glisse insidieusement. Une fois qu’on y est, le processus de guérison, le retour à la normale est long, très long. Peut-être seriez-vous bien avisé de vous renseigner davantage que ne le fait cet article.  


Ondes électromagnétiques : comment s’en protéger à la maison?

On ne les voit pas, et pourtant, les ondes électromagnétiques sont partout chez nous. Du micro-ondes au Wi-Fi, du téléphone portable aux ampoules, la quasi-totalité de nos équipements électroniques en produisent. Quand on sait que ces ondes électromagnétiques sont possiblement cancérigènes, d’après l’Organisation Mondiale de la Santé, alors mieux vaut s’en protéger. Apprenez ces gestes simples, qui ne coûtent rien pour réduire votre exposition et celle des membres de votre famille.

C’est vrai, leurs effets sur notre santé sont une source de débats intenses depuis de nombreuses années, sans pouvoir atteindre de conclusions unanimes. Les enjeux économiques sont tels, qu’il est bien difficile de se fier aux « experts » dont l’indépendance, elle aussi, fait débat.

Le mieux est de prendre les devants afin de se protéger autant que possible, en attendant d’y voir plus clair. Vous serez bien content, si d’aventure on vous explique dans quelques années, que finalement ces ondes électromagnétiques ne sont pas si inoffensives qu’on avait pu le croire.

Pour certaines personnes qui y sont allergiques, la question ne se pose pas. Pour l’OMS, la question est posée, mais n’est pas tranchée. L’organisation les considère comme de « possibles cancérigènes ».

Dans le doute donc, il est recommandé d’éviter au maximum de s’exposer aux ondes électromagnétiques. Ou les trouve-t-on ? Comment s’en protéger simplement, sans tout chambouler dans ses habitudes ? Les réponses à ces questions sont ici.

Voici plusieurs habitudes simples à prendre au quotidien pour limiter l’impact des ondes électromagnétiques sur votre organisme et celui de vos proches. Notez que ces ondes représentent un danger plus important pour les femmes enceintes, les nourrissons et pour les adolescents.

ondes électromagnétiques

Utilisez votre téléphone portable prudemment

En ce qui concerne les ondes électromagnétiques, le téléphone portable est sûrement l’ennemi n°1. On sait déjà tous qu’il faut éviter à tout prix de dormir près de son téléphone, mais c’est loin d’être la seule précaution à prendre à son égard. Une première chose évidente à laquelle on ne pense pas toujours : coupez le Wi-Fi quand vous n’en avez pas besoin !

L’éteindre la nuit. Tout d’abord, il faut savoir qu’il continue à produire des ondes électromagnétiques même lorsqu’il est en mode avion. Il est donc toujours préférable de l’éteindre pendant la nuit, ou dès que vous n’en avez pas l’utilité pour plusieurs heures. Notez que c’est aussi une façon de se déconnecter un temps durant dans la journée, ce qui est appréciable.

Mauvais réseau. Évitez également de l’utiliser lorsque le réseau n’est pas bon ou lorsque vous êtes en mouvement, dans un train par exemple. Dans ces situations, en effet, votre téléphone portable peut aller jusqu’à doubler son volume d’ondes électromagnétiques afin de recevoir un signal suffisant qui vous permettra de passer un appel.

Passer un appel. Lorsque vous appelez quelqu’un, pendant que votre téléphone recherche votre correspondant, sa production d’ondes électromagnétiques est à son maximum. Éloigner le de votre tête jusqu’à entendre la première sonnerie. À cet instant, la densité des ondes néfastes retombe à un niveau normal, vous pouvez alors le porter à votre oreille.

En voiture. Il est conseillé de ne pas téléphoner en voiture car l’habitacle empêche les ondes de sortir. Elles planeront donc autour de vous, vous exposant davantage comparé à un usage en plein air.

Faites attention au téléphone fixe

Le téléphone fixe sans fil est aussi un grand émetteur d’ondes électromagnétiques. Sa base en diffuse en continu. Il est donc recommandé de le placer autre part que dans votre salon. Vous pouvez par exemple le placer dans votre hall d’entrée : vous n’y êtes pas en permanence, et ce n’est pas trop éloigné des pièces où vous vivez.

Éloignez-vous du four micro-ondes

Le four micro-ondes n’est pas un appareil anodin, loin de là. Ceux qui s’en servent devraient en limiter leur usage.

Lorsque l’on fait chauffer un plat au four micro-ondes, on a souvent l’habitude d’attendre devant, le nez presque collé à la vitre. Or, un four micro-ondes en fonctionnement émet une quantité importante d’ondes électromagnétiques. Veillez donc à vous tenir à distance durant son fonctionnement, à au moins un mètre. Le mieux étant d’aller faire un tour en dehors de la cuisine lorsque vous l’utilisez.

Il est aussi conseillé, dans la mesure du possible, de le débrancher entre chaque utilisation, une multiprise avec un bouton on/off est bien pratique pour cela. D’autre part il est recommandé de changer son four micro-ondes tous les 5 ans.

Remplacez vos ampoules fluo compactes

Certaines ampoules sont aussi de grandes productrices d’ondes électromagnétiques. Bien sûr, je ne vais pas vous conseiller de vivre dans le noir ! Il est toutefois préférable de remplacer vos ampoules fluo compactes -aussi appelées « économiques » ou « basse consommation »- par des ampoules Led. Elles sont un peu plus chères c’est vrai, bien que leur prix ait considérablement baissé aujourd’hui.

Important : Ces conseils sont d’autant plus importants que les lampes sont proches de vous, telles les lampes de bureau ou les lampes de chevet.

Même conseil pour les néons, ils utilisent la même technologie que les ampoules fluo compactes. Notez que l’un comme l’autre, s’ils se brisent, répandent des gaz toxiques. Veillez à les jeter dans des endroits spécifiques, que l’on trouve dans la plupart des supermarchés, ou en déchetterie.

Éteignez la radio si le son est mauvais

Dès que vous entendez des nuisances sonores à la radio, cela révèle la présence d’ondes de haute intensité. Il est donc préférable de l’éteindre. Cela fera aussi du bien à vos oreilles ! La mauvaise qualité du son les fatiguera sûrement plus vite.

Voilà, avouez que ces quelques conseils « ne mangent pas de pain », il serait dommage de ne pas les suivre. Ces astuces peuvent diminuer considérablement votre exposition aux ondes électromagnétiques. Prenez-en l’habitude, car quelle que soit la décision finale de l’OMS sur leur dangerosité : vous n’aurez rien a regrettez.

Prenez soins de vous et de ceux que vous aimez… personne ne le fera à votre place.

Partagez ces quelques conseils tout simples, pour sensibiliser toutes celles et ceux qui s’exposent inconsciemment aux ondes électromagnétiques .

C’est prouvé par la science : Nous absorbons les énergies des autres.

Cela vous est-il déjà arrivé lorsque vous étiez avec une personne et que vous ressentiez une mauvaise ambiance, comme si cette personne volait votre énergie?

Albert Einstein a dit « Tout ce qui existe dans l’univers est énergie. L’univers est entier est énergie. La matière est l’énergie sont non seulement liées, mais se transforment l’une en l’autre et vice-versa. ». Ainsi, « tout est énergie » est l’une des principales démonstrations de la science. L’être humain est donc intrinsèquement affecté non seulement par l’énergie qu’il dégage mais aussi par celles qui l’entourent.

Une étude intéressante a été menée à l’Université de Bielefeld, en Allemagne, qui a montré que les plantes peuvent absorber de l’énergie provenant d’autres plantes. Olivia Bader-Lee, médecin et thérapeute, a suivi les résultats de cette enquête.

La science qui étudie le comportement de l’énergie dans les êtres vivants s’appelle bioénergétique.

Cette recherche a été menée sur des algues, en particulier sur Chlamydomonas reinhardtii. Il a été découvert qu’en plus de la photosynthèse, il existe également une source d’énergie alternative qui consisterait à absorber l’énergie d’autres algues. Le biologiste allemand Olaf Kruse est le responsable de cette recherche. Ses conclusions ont été publiées sur le site Naturesite.

Selon Bader-Lee, nos corps sont comme des éponges, absorbant l’énergie qui nous entoure. «C’est précisément la raison pour laquelle certaines personnes se sentent mal à l’aise quand elles se trouvent dans un certain groupe avec un mélange d’énergie et d’émotions».

«Le corps humain est très similaire à une plante qui aspire, absorbe l’énergie nécessaire pour nourrir votre état émotionnel, peut dynamiser les cellules et augmenter la quantité de cortisol et cataboliser, nourrir les cellules en fonction des besoins émotionnels. »Poursuit Bader-Lee.

C’est pourquoi beaucoup de gens peuvent changer d’humeur, ce qui conduit à être nerveux, stressé, en colère, anxieux, triste, mais aussi heureux, optimiste et riant.

Bader-Lee dit qu’au cours des siècles, l’homme a perdu ce lien avec la nature, dans lequel l’échange d’énergie pourrait apporter d’énormes avantages à l’humanité.
En fin de compte, l’esprit est énergie et ce que nous appelons «surnaturel» n’est rien de plus que la manifestation de différentes énergies dans le monde. Cela était connu dans les cultures anciennes de tous les continents, mais la science a décidé de l’ignorer et seuls quelques scientifiques osent aborder ces questions, de peur des critiques et du rejet de la part de la communauté scientifique.

Le choc émotionnel est la cause de toutes les maladies selon la Médecine Chinoise

Les émotions refoulées à l’intérieur de nous-même et qu’on n’arrive pas à verbaliser, s’expriment le plus souvent par des maladies qu’on appelle « maladies psychosomatiques » et font étalage de toute une panoplie de symptômes d’angoisse et de détresse émotionnelle, se répercutant sur les organes de notre corps. 

Nous générons chaque jour du stress et des émotions négatives. Nous les accumulons dans les organes internes et dans le système nerveux. Ces émotions polluent notre corps-esprit provoquant des dysfonctions dans différents organes. La tristesse touche les poumons, la peur atteint les reins, la colère frappe le foie…

Ainsi, selon la médecine chinoise, les émotions provoquent des maladies. Et chaque organe a ses propres émotions. Dans la médecine chinoise, cette énergie s’appelle Chi ; elle est codépendante du sang. Les médecins chinois affirment que le sang est la mère de l’énergie et que l’énergie est le maître du sang.

Les reins représentent la base du yin et du yang. Ils sont donc les centres énergétiques les plus importants de notre corps. Les reins sont associés au système squelettique, à l’ouïe et à la peur. Leur traitement affecte tous les systèmes.

Le foie, par contre, filtre le sang. Il est traité dans le cas des troubles du cycle menstruel chez les femmes. Il assure le flux d’énergie à travers notre corps et contrôle le flux de nos pensées. Il fonctionne correctement quand on n’a pas de stress ou de pression. Les démangeaisons, maux de tête et vertiges sont signe d’une dysfonction hépatique. Les gens avec un foie sain sont plus sereins, prennent les bonnes décisions et sont des leaders.

Les signes de déséquilibre du foie sont soit émotionnels soit physiques. Les signes émotionnels sont traduits par la colère, l’irritabilité, l’entêtement, l’anxiété, l’amertume, la violence… Si elles ne sont pas exprimées, ces émotions peuvent provoquer la dépression ou de fréquentes sautes d’humeur.

Les signes physiques sont traduits par les problèmes menstruels, la fatigue, les tensions, la raideur du corps, les douleurs costales, les allergies…

Comment se produisent les chocs émotionnels

Les émotions touchent l’endroit le plus sensible du corps pour causer des maladies. Ce sont des maladies psychosomatiques ou « maladies de l’esprit ». Les maladies psychosomatiques peuvent être définies comme des maladies causées par le stress, avec des dommages aux systèmes et aux organes du corps.

Les situations stressantes sont inévitables. Pour les surmonter, les gens utilisent des stratégies axées sur la résolution de problèmes ou des stratégies axées sur les émotions, afin de réduire l’expérience stressante. Éviter la confrontation est une mauvaise stratégie. Car, à long terme, cette stratégie augmente les niveaux de stress et accélère l’évolution de la maladie.

C’est vrai que «l’amour et la souffrance passent par le cœur », indique une équipe de médecins et de psychologues. Toutefois, d’autres organes du corps humain peuvent être touchés par les troubles de l’âme. Autrement dit, une âme tourmentée affecte le système cardiovasculaire, respiratoire et digestif. Les parties visibles du corps sont également exposées aux attaques de l’âme, comme la peau sur la poitrine, le dos et les bras.

Les zones du corps les plus sensibles

Les organes les plus touchés par le choc émotionnel sont:

Le dos : les douleurs les plus fortes et la tension dans cette zone indiquent que vous portez toutes les charges du monde sur votre dos.

Le système respiratoire : l’incapacité de respirer ou la respiration difficile indiquent que certaines personnes, situations ou événements vous étouffent.

Le cœur : cet organe est lié à notre vie émotionnelle. Avant un rendez-vous amoureux, le cœur bat la chamade ; en compagnie d’un être cher, le cœur palpite.

Le système digestif : les dysfonctionnements du système digestif, comme la gastrite ou l’ulcère, sont dus à des problèmes de communication avec les autres.

La peau : les éruptions cutanées, les boutons ou les taches sur le visage sont signe de malaise. Elles indiquent que la personne ne se sent pas bien. Les maladies de peau indiquent un signe de rejet de certaines personnes ou d’une éviction de la situation actuelle.

Les maladies qui nous atteignent sont porteuses de messages. Elles nous indiquent un déséquilibre émotionnel ou énergétique. Il est donc nécessaire d’apprendre à lire ses messages pour avoir une vie heureuse et saine.

Voici ce que subit le corps quand on exerce un emploi que l’on déteste

Un travail délétère peut rendre malade de multiples façons.

Nous avons tous de mauvais jours au travail. Néanmoins, une semaine tendue se traduit parfois par un stress sans fin qui nuit à votre santé. Voici les signes qui doivent vous alerter.

Trop d’Américains se retrouvent coincés dans des emplois toxiques, un problème qu’employeurs comme employés devraient prendre plus au sérieux. Jeffrey Pfeffer, professeur en comportement organisationnel à Stanford et auteur du livre Dying for a Paycheck (Mourir pour un salaire, non traduit), a constaté lors de ses recherches qu’un management de mauvaise qualité est à l’origine de 8% des frais de santé annuels aux États-Unis et de 120.000 décès supplémentaires chaque année.

Le corps sait parfois avant nous quand notre travail est source de stress. Il envoie alors des signaux pour nous signifier qu’on est sur la mauvaise pente.

Vous avez du mal à dormir

« On commence souvent par nous parler d’insomnies », explique Monique Reynolds, psychologue clinicienne dans un centre pour l’anxiété et les changements comportementaux. « Les gens nous disent qu’ils n’arrivent pas à dormir, car leur esprit tourne à plein régime, ou qu’ils ont un sommeil fragile et se réveillent au milieu de la nuit en pensant à tout ce qu’ils doivent faire. »

Passer quelques mauvaises nuits n’a rien de bien méchant. Toutefois, si cela devient récurrent, c’est le signe que votre stress professionnel est probablement néfaste. « Si c’est bien lié au travail, alors quelque chose ne va vraiment pas », ajoute-t-elle.

Vous avez des maux de tête

Lorsque vous vous mettez à voir votre lieu de travail comme un endroit dangereux, vos muscles se contractent pour vous empêcher de vous blesser, nous dit l’Association américaine de psychologie. Des raideurs chroniques dans le cou, les épaules et le crâne peuvent être associées à des migraines et des céphalées de tension.

« Le stress engendre des symptômes physiologiques qui se manifestent par des douleurs », poursuit notre spécialiste.

Vous ressentez des douleurs musculaires

Lorsqu’on occupe un emploi toxique, on a souvent l’impression de se battre contre un tigre à son bureau. Notre cerveau perçoit une menace et inonde notre système d’adrénaline et d’autres hormones du stress.

« Dans ces situations, le système nerveux est sous tension constante. On se met à tout appréhender, pour être prêt à réagir face aux actions d’un chef ou d’un collègue désagréable. »

Si vous vous contentez de répondre aux e-mails, le dos voûté et la mâchoire contractée, c’est peut-être le signe que votre travail affecte votre équilibre.

Votre santé mentale en pâtit

Un stress élevé peut exacerber des pathologies mentales existantes. « Chez une personne anxieuse, un environnement délétère amplifiera le stress au point de dépasser le seuil clinique. »

Si vous avez l’impression que votre chef est toujours sur votre dos, votre santé mentale est en danger. En 2012, une analyse de 279 études a établi un lien entre la perception d’injustices dans l’entreprise et le nombre de signalements par les employés de problèmes de santé, comme l’hyperphagie et la dépression.

E. Kevin Kelloway, responsable de la chaire de recherche canadienne en psychologie de la santé au travail à l’université de Saint Mary, affirme qu’un traitement immérité peut amplifier le stress.

« L’injustice est un facteur de stress particulièrement nocif, car elle s’attaque à ce que nous sommes fondamentalement », indique-t-il. « Si vous vous conduisez mal avec moi, c’est ma dignité en tant que personne que vous attaquez, en me montrant que je ne mérite pas d’être traité équitablement ou de la même façon que les autres. »

Vous tombez plus souvent malade

Si vous enchaînez les rhumes, il est temps de songer à la nature de vos sentiments envers votre poste. De nombreuses études démontrent qu’un stress chronique affecte le système immunitaire, ce qui nous rend plus susceptibles de contracter des maladies.

Vous n’éprouvez plus d’intérêt pour le sexe

Ce qu’on fait de notre temps reflète l’importance que l’on accorde aux choses. Quand vous apportez du travail à la maison, vos relations en subissent les conséquences. L’Association américaine de psychologie précise que, lorsque les femmes doivent jongler entre stress professionnel et obligations personnelles et financières, leur désir sexuel s’en trouve parfois amoindri. Pour les hommes, un stress chronique diminue la production de testostérone, et donc la libido.

« Pour ressentir de l’excitation, il faut être un minimum détendu », souligne notre psychologue clinicienne. « Sans compter le manque de temps: les patients nous racontent souvent que c’est ce qui les empêche d’avoir des rapports. »

Vous êtes tout le temps fatigué

Vous êtes affligé par un profond épuisement qu’aucun week-end de repos ou sieste ne semble apaiser.

Selon E. Kevin Kelloway, « chaque personne réagit à sa façon à un environnement de travail toxique », mais l’éreintement est un symptôme physique fréquent.

Un emploi néfaste peut créer un cycle qui nous vide de notre énergie, indique Jeffrey Pfeffer. « On se sent abattu d’avoir trop travaillé, ou on travaille trop parce qu’on se sent terrassé. »

Vous avez des troubles du système digestif

Indigestion, constipation et ballonnements sont autant de manifestations potentielles du stress. Celui-ci influe sur notre absorption alimentaire et modifie notre flore intestinale, ce qui se répercute sur notre humeur.

C’est la raison pour laquelle on a des maux de ventre quand on est bouleversé, signale E. Kevin Kelloway, qui a lui-même vécu cette situation. « Au bout de six mois, j’ai remarqué que j’avais mal à l’estomac chaque dimanche après-midi. J’ai su que ça avait un lien avec mon travail, non pas à cause du symptôme lui-même, mais de son timing. Ça commençait quand je me mettais à réfléchir aux tâches qui m’attendaient le lundi matin, et il me suffisait de quitter le bureau et de faire autre chose pour en être libéré. »

Votre appétit varie

Cerveau et appétit sont étroitement liés. En cas de fort stress, la réaction de lutte ou de fuite produit de l’adrénaline, qui signale à votre corps d’arrêter de digérer pour se concentrer exclusivement sur la survie face au danger perçu, selon l’Harvard Health Letter. En cas de stress prolongé, les glandes surrénales libèrent du cortisol, une hormone qui augmente la sensation de faim et vous vous retrouvez à sauter sur la nourriture pour vous réconforter.

Les aliments sucrés atténuent les réactions et émotions liées au stress, ce qui explique que ce soit souvent vers eux que l’on se tourne quand on se sent mal. Mais cette habitude est mauvaise pour la santé et doit être évitée.

Comment lutter contre cette situation

Faites des pauses. Quand votre corps s’est mis sur le qui-vive en raison de demandes excessives ou d’un chef tyrannique, il a besoin de souffler. « Quand on ne laisse pas notre système nerveux se détendre, il subit des dégâts sur le long terme », soutient Monique Reynolds. Se retrouver entre amis en dehors du lieu de travail, méditer ou faire du sport aide à combattre les symptômes du stress.

Contrôlez vos perceptions négatives. L’un des principes de la thérapie cognitive est que notre façon de penser est susceptible d’influer sur nos émotions. « On ne peut pas tous quitter notre emploi, mais on peut se concentrer sur ce qu’on est en mesure de contrôler », poursuit-t-elle. La pleine conscience peut nous aider à gérer les cogitations inutiles sur la manière dont s’est déroulée notre présentation, ou sur ce que nos collègues pensent de nous.

Partez. C’est peut-être le signe qu’il est temps de chercher ailleurs. Selon Jeffrey Pfeffer, des horaires à rallonge, l’absence d’autonomie, un planning flou ou une forte précarité économique font partie des facteurs qui contribuent à créer un environnement toxique au travail. Il faut alors que les employés trouvent la force de le quitter, plutôt que d’endurer. « Vous devez résoudre le problème de fond, et ne pas vous contenter de traiter les symptômes. »

Cet article, publié sur le HuffPost américain, a été traduit par Maëlle Gouret pour Fast ForWord.

Voici en détail, les activités que nous vous proposons :

Merci pour vos partages et commentaires.

Au plaisir de vous recevoir dans nos locaux.

Philippe Lantelme, président de l’Association « Le Choix de l’Être »

N’oubliez pas de vous abonner au blog pour recevoir les actualités et évènements organisés par l’association .

Penser différemment pour changer ses croyances limitantes.

L’homme ne sait pas qu’il y a un serpent en dessous.

La femme ne sait pas que l’homme est coincé sous une roche.


La femme pense: « Je vais tomber!

Et je ne peux pas monter parce que le serpent va me mordre!

Pourquoi l’homme ne peut-il pas utiliser un peu plus de force pour me tirer ! »


L’homme pense: « Je souffre tellement !! Je tire toujours autant que je peux !

Pourquoi n’essaie t elle pas de grimper un peu plus haut ? »


On ne peut pas toujours voir la pression que l’autre partie subit, et l’autre partie ne voit pas toujours la douleur dans laquelle on est.

C’est la vie, que ce soit avec le travail, la famille, les sentiments, les amis, la famille, on devrait toujours essayer de mieux se comprendre, d’apprendre à penser différemment, de penser à l’autre et de mieux communiquer.

Relaxation et Méditation de Pleine Conscience.

C’est bientôt la rentrée ! Retrouvez nos ateliers dés le jeudi 5 septembre ..
Attention changement d’heure pour l’après-midi, désormais à 14h 30.

Un jeudi sur deux à 14h30 et 19h00.

♦️Venez vous ressourcer dans un cadre propice à la détente et à la méditation.

La Relaxation et la Méditation sont des techniques puissantes qui, en assurant l’arrêt du mental, permettent l’effacement de l’ego et l’éclaircissement de l’esprit.

♦️Prendre du temps pour soi, dans l’agitation du quotidien.
Se connecter à son Moi profond.

♦️La méditation vous aide à combattre le stress, l’anxiété, et à retarder le viellissement cérébral.
C’est une précieuse alliée pour la santé en améliorant l’équilibre émotionnel.

♦️La pensée positive associée à des visualisations harmonieuses contribue à augmenter notre niveau vibratoire en nous permettant d’atteindrel’énergie de l’auto guérison

♦️Un pur bonheur de se reconnecter à son être, dans une ambiance bienveillante.

Tarif Atelier 10 euros
Abonnement mensuel 30 euros, ateliers illimités.

Places limitées pour votre confort .
Inscriptions obligatoires au 06 63 12 81 51 ou par mail
lechoixdeletre@gmail.com
Merci de vos partages
🙏🏻🙏🏻🙏🏻

Qu’est ce que l’hypnose et que peut-elle faire pour moi ?

Qu’est ce que l’hypnose ? Il y a encore peu de temps, l’image véhiculée par l’hypnose mettait en scène un personnage énigmatique, souvent coiffé d’un long turban. Le public croyait alors qu’il allait assister à un tour de sorcellerie par lequel l’hypnotiseur pourrait contrôler ses « victimes ». Ces images empruntées au passé sont bien loin de la réalité.

Découvrez ce qu’est vraiment l’hypnose, et quels sont ses domaines d’intervention. Êtes-vous sûr que l’hypnose ne peut rien pour vous ?

Qu'est-ce que l'hypnose

Tout ce que vous devez savoir sur l’hypnose

L’hypnose est une pratique alternative reconnue qui aide à soigner de nombreux troubles. Mais qu’est-ce que l’hypnose exactement ? Que peut-elle faire pour nous, et comporte-t-elle des risques ? Cet article va tenter de répondre à ces questions et vous dire tout ce que vous devez savoir sur cette technique empreinte de mystère.

Qu’est-ce que l’hypnose ?

L’image d’un sujet endormi est souvent représentée pour illustrer la pratique de l’hypnose. Le terme « hypnose » vient d’ailleurs du grec húpnos, qui signifie sommeil. Et pourtant, il serait erroné d’allier hypnose et sommeil.

La raison en est simple : l’hypnose ne peut être pratiquée sur un patient endormi. En réalité, l’hypnose est davantage un état entre l’éveil et le sommeil, entre le conscient et l’inconscient, ou encore entre le « ici » et le « ailleurs ». C’est un état d’intense relaxation que certains définissent comme un sommeil éveillé.

Cela vous parait surréel ? Pourtant, nous nous mettons souvent dans un état similaire lorsque nous sommes «dans la lune». De même, vous est-il déjà arrivé de vous retrouver chez vous après le travail sans vous souvenir du trajet parcouru ? C’est normal : pendant une activité basique et routinière, notre cerveau a souvent tendance à nous emmener ailleurs. C’est exactement le principe de l’hypnose. Lorsque vous êtes sous hypnose, vous parvenez à aller au-delà de vos simples souvenirs, vous sentez des odeurs et ressentez des stimuli qui n’existent pas dans votre environnement direct.

Dans quel but est pratiquée l’hypnose ?

Le but recherché est d’atteindre notre subconscient. Une partie normalement inaccessible de notre psyché, qui joue pourtant un rôle fondamental dans notre comportement. Il devient notamment possible de déceler des troubles et traumatismes refoulés qui ont un effet négatif sur notre vie présente.

Cela permet aussi de jouer sur nos perceptions et sur notre rapport à notre environnement. De cette façon, il devient possible de modifier plus facilement un comportement addictif, ou encore, de soigner certains troubles liés à l’alimentation, entre autres exemples.

Qu'est-ce que l'hypnose

Bien que l’hypnose existe depuis plus longtemps, c’est au 18ème siècle qu’elle fait son apparition dans le monde médical, grâce au médecin Anton Mesmer. Elle a ensuite été mise de côté et considérée comme une pratique de charlatans jusqu’au 20ème siècle. Elle fait son grand retour dans le monde de la médecine, notamment grâce au psychiatre Milton Erickson. Ce dernier a longtemps travaillé avec l’hypnose pour comprendre les causes des symptômes de ses patients, et ainsi pouvoir les guérir en profondeur.

Comment se déroule une séance d’hypnose ?

On va parler de l’hypnose thérapeutique ou d’hypnothérapie, celle qui va être utilisée pour diverses problématiques , psychologiques entre autres !

Tout d’abord, notez qu’il existe plusieurs façons d’hypnotiser et d’être hypnotisé. Il est même possible de s’auto-hypnotiser. L’auto hypnose est très efficace pour soi-même.

Les techniques employées varient selon le but de la séance, mais aussi selon les préférences de l’hypnothérapeute et de l’hypnotisé.

Ainsi, vous pouvez vous coucher, vous asseoir ou rester debout, fermer vos yeux ou les garder ouverts, être entièrement immobile ou bouger certaines parties de votre corps. L’une des seules choses que le patient ne peut pas faire, c’est dormir !

En règle générale, une séance dure environ 60 minutes, mais vous n’êtes sous hypnose que pendant 20 à 30 minutes.

La première étape consiste à atteindre un état de relaxation profonde. Cela peut être réalisé de différentes façons. L’hypnothérapeute peut, par exemple, utiliser sa voix pour vous détendre, ou mettre une musique relaxante.

Une fois que le patient se trouve dans un état propice à l’hypnose, il existe plusieurs moyens de tenir la séance. Ceux-ci se divisent en deux grands courants :

  1. Le premier courant est le plus traditionnel. Elle est utilisée généralement, dans l’hypnose de rue et en spectacle L’hypnotiseur propose une série de suggestions directes. La relation hypnotique est à sens unique : l’hypnotiseur dit quelque chose, et la personne s’exécute. Ainsi, par exemple, il suffira à l’hypnotiseur de dire « vous croisez votre tante dans la rue » pour que le patient s’imagine vivre ce scénario.
  2. Le deuxième courant, quant à lui, induit une relation plus équilibrée, dans lequel le patient a un rôle actif à jouer. Au lieu de vous faire des suggestions, l’hypnothérapeute entre dans une conversation. Petit à petit, il amène votre inconscient à trouver lui-même les solutions à vos problèmes. Ce deuxième courant, issu des travaux de Milton Erickson, est considéré comme le plus efficace par de nombreuses personnes.

Dans quels cas peut-on faire appel à l’hypnose ?

L’hypnose peut aider à soigner de nombreux troubles psychologiques et psychosomatiques. Voici les domaines dans lesquels l’hypnose est souvent pratiquée :

1. L’hypnose pour lutter contre le stress

C’est l’une des raisons les plus communes de faire appel à l’hypnose. Elle peut nous aider à faire face à un événement stressant en particulier, ou à mieux gérer notre stress au quotidien.

L’hypnose en soi est déjà un bon anti-stress. En effet, elle plonge le patient dans un état de relaxation profonde. Cela permet de le débarrasser de tout stress pendant la séance et de le retrouver détendu après.

Mais, lorsqu’elle est utilisée spécifiquement contre le stress, l’hypnose va évidemment bien plus loin. Elle s’intéresse particulièrement aux situations dans lesquelles nous faisons face, à des événements qui nous stressent, sans que l’on n’arrive à en percevoir la raison. Son objectif est alors de trouver la ou les causes de notre état de stress, pour pouvoir ensuite les déconstruire.

2. L’hypnose pour mieux dormir

Comme pour le stress, il est ici question de comprendre les raisons pour lesquelles le patient a du mal à s’endormir, a le sommeil agité ou fait des insomnies. Une fois les causes identifiées, l’hypnotiseur et le patient pourront alors travailler ensemble pour les faire disparaître.

3. L’hypnose pour arrêter de fumer

Dans ce cas, l’hypnothérapeute va utiliser la suggestion pour réduire petit à petit votre envie de fumer. Il s’adressera directement à votre subconscient qui deviendra rapidement un allié puissant face au tabagisme. De plus en plus de fumeurs font appel à cette technique, et pour cause : elle fonctionnerait dans 90% des cas.

En outre, quand vous aurez fumé la dernière cigarette, l’hypnose peut encore vous aider à traverser la période de sevrage.

4. L’hypnose pour perdre du poids

Evidemment, il serait faux de croire qu’à elle seule, une simple séance d’hypnose nous fera perdre des kilos. Cependant, l’hypnothérapeute peut nous aider à maigrir en intervenant sur notre relation à la nourriture. Ainsi, par exemple, il ne va pas chercher à vous interdire de manger une part de gâteau tous les jours. À la place, il fera en sorte que notre cerveau arrête d’associer gâteau avec plaisir. De cette façon, nous serons bien moins tentés de craquer.

Travailler sur le caractère compulsif lié à la consommation de certains aliments caloriques et mauvais pour la santé est la première étape du processus. Ensuite, l’hypnothérapeute aidera le patient à se construire de nouvelles habitudes culinaires, en associant des habitudes saines à des notions de plaisir et à des sentiments heureux.

L’idée qui se cache derrière ces deux étapes est la même : il s’agit de changer la façon dont nous percevons la nourriture.

5. L’hypnose contre la douleur

L’hypnose ne peut pas combattre tous les types de douleur, mais elle est notamment efficace contre la migraine et les maux de dos.

L’explication la plus plausible à cela est que l’hypnose vous permet d’entrer dans une relaxation profonde. Or, lorsque nous sommes dans cet état intense, notre corps produit plus d’endorphines et celles-ci aident à lutter contre la douleur. Dans ce cas, l’hypnothérapeute veillera donc à détendre le patient au maximum.

6. L’hypnose en milieu hospitalier

Certains hôpitaux ont intégré l’hypnose dans leurs pratiques quotidiennes. Ainsi, l’hypnose peut aider à lutter contre certaines douleurs liées à une opération ou à un accouchement. Ici, l’hypnothérapeute aide le patient à percevoir la douleur de façon différente.

L’hypnose est alors toujours utilisée en complément à une anesthésie normale, mais permet de réduire la dose de produit anesthésiant. On appelle cette technique « hypnoanalgésie ».

L’hypnose médicale est aussi utilisée pour détendre un patient stressé avant une opération.

7. Mais encore…

L’hypnose peut également aider à se débarrasser d’une phobie ou d’une addiction, à prendre confiance en soi, à améliorer sa mémoire, à soigner des troubles de la peau, tels que l’eczéma et le psoriasis, etc.

 La liste n’est pas exhaustive. N’hésitez pas à consulter un professionnel pour savoir si l’hypnose peut vous aider.

L’hypnose comporte-t-elle des risques ?

La fiction nous fait souvent croire que l’hypnose peut nous faire faire des choses que l’on ne veut pas faire. Heureusement, c’est seulement de la fiction. En réalité, l’hypnothérapeute n’a pas un pouvoir illimité sur notre cerveau. Bien que ce dernier puisse se laisser entraîner dans un état de semi-conscience, il connait les limites et veillera toujours à ne rien faire qui aille à l’encontre de notre volonté et de nos valeurs.

l’inconscient est là pour bous protéger dans tous les cas !

Ainsi, vous pourrez à tout moment sortir de l’état hypnotique dans lequel vous aurez été plongés, même avant que l’hypnothérapeute ne vous en fasse revenir. 

Sachez aussi qu’il est impossible de rester dans un état hypnotique sans fin.

Toutefois, pour profiter d’une expérience positive, il est important de prendre le temps de bien choisir son hypnothérapeute.

Trouvez-en un avec qui vous pouvez construire une relation de confiance.

Le mieux est peut-être de prendre l’avis de son entourage afin d’éviter les charlatans… car ils existent ici, comme dans bien d’autres domaines, malheureusement.

Sources et références : aufeminin.com – bienetre-et-sante.fr – sante-hypnose.com – psychologies.com – cosmopolitan.fr

L’hypnose est d’une aide capitale, quand il s’agit de comprendre ce qui se trame au plus profond de soi, dites-le à vos proches :

Stage Initiation, Magnétisme, Energies et Eveil de Conscience

Le Choix de L’ Être à Gréasque vous propose

Le SAMEDI 05 OCTOBRE 2019 de 9h00 à 18h00

Stage d’Initiation

Magnétisme, Energies et Eveil de Conscience.

Ce stage est accessible à tous, passionnés ou débutants, ceux qui sont attirés par l’énergie, le magnétisme, qui s’interrogent sur leurs facultés, leurs ressentis, ou pensent avoir des prédispositions.

Cela va vous permettre de vous familiariser avec les chakras, de vous entrainer avec des exercices simples et détaillés, vous serez guidés dans votre pratique, et serez capables à la fin de la journée, d’avoir les bases nécessaires, pour mener une séance à bien, sur vous-même et vos proches.

Nous aborderons cette journée, sous le signe de la bienveillance, de la bonne humeur et de  la neutralité.

PROGRAMME

  •  Qu’est ce que l’énergie ? Apprendre à la ressentir, la canaliser
  •   Les énergies environnantes
  •   Comprendre et utiliser les Chakras.
  •   Le pouvoir du verbe créateur.
  •   Les energies positives et négatives
  •  Utilité de  l’ancrage ou l’enracinement pour se recentrer.

  •   Les intentions.
  •   La loi de l’attraction.
  •   Apprendre à faire un soin énergétique à distance.
  •   Déroulement d’une séance .

Nombre de participants maximum : 8

TARIF DE LA FORMATION : 130 Euros

Une attestation de stage vous sera remise à la fin de la 
journée

Déjeuner : Prévoir votre repas, possibilité de le réchauffer.

Nous mettrons à votre disposition du thé, café, eau.


Un chèque d’acompte de 50 euros pour la reservation est à prévoir. Merci

Le Choix de l’Être

Association loi 1901

   Siret  84919703300012

26 Bis Avenue Emile Zola prolongée

13850 Gréasque

Renseignements au 06 63 12 81 51

Cette formation vous est proposée par Philippe LANTELME

Energéticien , Magnétiseur, Hypnothérapeute.

les Chakras

Avatar, le dernier maître de l’air – Un dessin animé majestueux …

Simple, clair et accessible à tous et toutes, cet épisode résume avec sagesse le principe des 7 chakras et des blocages qui empêchent les énergies de circuler avec fluidité.

Ludique et Magnifique !

Vacances !

Nous vous informons que le centre « le Choix de l’Être »

sera fermé du 5 Aout au 18 Aout.

N’oubliez pas de prendre bien soin de vous

Dés la rentrée de Septembre ,

de nouveaux évènements et ateliers vous attendent.

Merci de nous suivre et Merci pour vos gentils commentaires.

Les RDV avec Philippe LANTELME se prennent directement en ligne sur :

http://www.doctolib.fr

Merci

L’acceptation de Soi

Lorsque l’on parle d’acceptation de soi, il y a deux domaines majeurs sur lesquels, il est nécessaire de travailler.

Le premier, c’est le fait de s’accepter physiquement, tel que nous sommes, ce qui est pour beaucoup un défi.

Le deuxième, c’est celui de s’accepter en tant que personne,avec tous nos traits de caractère.

Là encore, selon notre passé, notre éducation, ça n’est pas aisé pour tous et demande parfois un long cheminement personnel. 

Pour preuve, le témoignage de Rossy de Palma qui en apporte sa propre vision .

Une belle leçon de vie, Merci Rossy.

Tant que la peur vous contrôlera, vous ne pourrez pas être heureux.

Même si nous passons beaucoup de temps à fantasmer au bonheur, nous faisons rarement les changements nécessaires pour l’obtenir.

Cela a une raison puissante : la peur. Que se passerait-il si ce que nous faisons ne nous aidait pas à être plus heureux, ou pire encore, gâchait tout ce que nous avons aujourd’hui ?

La peur de la déception, des changements, de perdre ce que nous avons, aussi peu soit-il, fonctionne comme une barrière qui nous éloigne de la possibilité d’être plus heureux, et crée aussi une grande sensation de frustration qui rend la situation actuelle encore pire. Ironique, non ?

« Il n’y a qu’une chose qui puisse rendre un rêve impossible, c’est la peur d‘échouer » Paulo Coelho

Dépassez la peur qui vous stoppe

Beaucoup de gens se créent des routines qui, même si elles les font se sentir misérables, leur donnent suffisamment de sécurité pour penser que leur vie même est sous contrôle.

Ils déguisent donc de paresse ou de confort ce que l’on nomme la panique. Ils se plaignent de la vie comme si d’autres personnes en avaient le contrôle.

Mais ce n’est pas ainsi que la vie fonctionne. Ce n’est pas ainsi que l’on contrôle quoi que ce soit.

Cette fausse sensation de sécurité fait émerger la peur de faire ce que nous savons que nous devons faire pour nous sentir mieux et plus heureux.

Mais la peur de ne pas réussir, que la sensation ne soit pas celle que nous attendons ou de découvrir que le bonheur n’est rien de plus qu’une illusion nous freine.

Cette peur nous plonge dans l’inaction, ce qui fait que nous nous contentons de penser à ce que nous pourrions faire, à ce que nous pourrions obtenir.

Mais penser sans faire ne nous fait sentir que plus misérables encore.

“L’inaction engendre le doute et la peur. L’action génère la confiance et le courage. Si vous voulez vaincre la peur, ne vous asseyez pas chez vous pour y penser. Sortez et travaillez »

Dale Carnegie

Étapes pour dépasser la peur qui nous empêche d’être plus heureux.

Pour obtenir une vie meilleure, il est nécessaire de dépasser la peur qui nous stoppe, d’abandonner la frustration et de nous faire plus confiance.

Nous avons du potentiel pour être plus heureux, mais il faut dépasser les limites que nous nous auto-imposons. Comment ? Voyons cela :

1 – Définissez ce que le bonheur signifie pour vous.

Nous recevons en permanence des messages sur ce qu’est le bonheur et la manière de l’atteindre.

Ces messages sont généralement contradictoires et répondent à une multitude de critères, provenant de la consommation, du marketing, de la publicité ou des manières de voir la vie.

Mais qu’est-ce que le bonheur ? C’est quelque chose que chacun doit définir selon ses propres connaissances, ses propres valeurs.

En réalité, la peur d’être heureux est souvent la peur de sortir d’un moule qui semblait être fait pour nous, à l’image de notre entourage et de la société.

Si vous éclaircissez vos objectifs en lien avec le bonheur, vous verrez qu’il est plus facile d’identifier les étapes dont vous avez besoin pour l’atteindre.

2 – Convainquez-vous que vous méritez d’être heureux.

Vous n’êtes pas venu au monde pour souffrir. Vous méritez d’être heureux. Mais dire que nous méritons le bonheur est une chose, le croire en est une autre.

Peut-être que vos expériences de l’enfance ou le souvenir de relations antérieures vous ont fait penser qu’il est difficile pour vous d’être heureux, et que vous ne le méritez pas.

Le manque d’auto-estime qui peut provenir des expériences traumatisantes ou négatives peut faire obstacle lorsqu’il s’agit de poursuivre nos rêves. 

Mais le passé, c’est le passé. Il y a de nombreuses opportunités devant nous. La peur de vivre la même chose que dans le passé ne doit pas nous paralyser, mais nous donner de l’énergie.

Finalement, ce qui a été mal vécu dans le passé nous aide à mieux profiter et à savourer chaque petit détail.

3 – Faites du bonheur votre priorité.

Nous sommes souvent disposés à mettre les besoins des autres devant les nôtres, laissant de côté notre propre bonheur.

Mais, pour prendre soin des autres, il est nécessaire de faire de notre propre bonheur une priorité.

C’est pour cela qu’il faut trouver des manières de créer un plus grand équilibre pour nous concentrer sur nos propres objectifs, ainsi qu’établir des limites saines concernant ceux qui nous entourent.

Si quelqu’un vous critique ou essaie de vous faire culpabiliser car, soi-disant, vous penseriez trop à vous-même, n’y prêtez pas attention. Il n’y a que celui qui s’aime lui-même qui est capable de bien aimer les autres.

4 – Préparez et planifiez le chemin

La peur de rester bloqué sur le chemin est normale et naturelle, surtout lorsque l’on marche sans direction, ni connaissance.

Pour vous sentir plus sûr de vous, préparez le chemin, planifiez-le et analysez-le. Vous en finirez ainsi avec la part d’incertitude, et vous renforcerez votre objectif.

Pensez attentivement aux obstacles que vous avez devant vous ou à ceux qui peuvent surgir, comment vous pouvez les aborder et comment vous allez gérer les problèmes.

Pensez aux avantages du renoncement à certaines choses et pensez à la manière dont vous allez faire face aux difficultés que ce renoncement implique.

5 – Croyez en vous-même

Lorsqu’on regarde le changement, nous sommes souvent paralysés par l’idée de penser que nous ne pourrons pas faire le nécessaire. 

Mais ce n’est pas grave. C’est normal. Quand il s’agit de prendre des décisions importantes dans la vie, nous passons tous par la peur et le doute.

C’est le moment de répondre avec confiance.

Si vous êtes déterminé à obtenir quelque chose, vous avez déjà fait un grand pas.

Souvenez-vous que vous devez renoncer à certaines choses pour avancer. Renoncer à vos peurs fait notamment partie du plan.Si vous pensez que vous pouvez être plus heureux, vous pouvez être plus heureux. Vous n’avez qu’à y croire et à vous faire confiance.

Pourquoi nous blâmons facilement les autres.

Une équipe américaine a identifié une zone du cerveau entrant particulièrement en jeu lorsque nous jugeons les actions d’autrui.

C’est un paradoxe : nous jugeons les autres rapidement pour leurs mauvaises actions et nous tenons prêts illico à leur faire des reproches.

À l’inverse, nous ne reconnaissons que lentement qu’ils ont entrepris une action positive !

Aider une personne à traverser la rue, commettre une infraction ou un délit : toutes les actions que nous réalisons sont jugées comme si elles étaient toujours empreintes d’intentions. Cette attitude moralisatrice, ancrée dans notre système social, juridique (lors d’un procès, la personne sera jugée non seulement sur les faits, mais aussi sur ses intentions) et politique, est au centre de nombreux débats philosophiques depuis une dizaine d’années.

Pourquoi adoptons-nous une telle démarche ? Est-ce le fruit de notre culture ou de notre système moral ? Pas seulement, répond une équipe de neurobiologistes de l’université de Duke, aux États-Unis. Elle a identifié une zone du cerveau entrant particulièrement en jeu dans nos capacités de jugement d’autrui, comme elle le rapporte dans son étude publiée dans la revue Scientific Reports

Un biais cognitif

Les chercheurs ont raconté aux participants quelques histoires impliquant l’intention et l’action de personnes. Par exemple, celle de ce chef d’entreprise, couramment utilisée dans le domaine de la philosophie expérimentale : « Le PDG savait que son projet nuirait à l’environnement, mais il ne s’en souciait guère. Il l’avait entrepris uniquement pour augmenter ses profits. Est-ce que le PDG nuit intentionnellement à l’environnement ? » 

Si vous répondez « oui », votre opinion rejoint celle de la majorité des individus.

Selon des études précédentes, 82 % de la population répond que l’action du PDG est délibérée. Et lorsque l’on raconte cette même histoire en remplaçant le mot « nuirait à » par « aiderait », seuls 23 % des personnes jugent les actions du PDG intentionnelles !

Là encore, les chercheurs de l’Université de Duke ont trouvé des résultats similaires dans leur propre étude. « Il n’y a aucune raison logique qui explique pourquoi nous jugeons une action volontaire simplement parce qu’elle entraîne un mauvais résultat, et involontaire dans le cas inverse »

L’amygdale en cause

À l’aide de l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), ses collègues et lui ont observé que lorsque l’individu découvre l’histoire et juge que les actions des personnages impliqués méritent des reproches, son amygdale, une zone du cerveau fortement liée au contrôle des émotions (zone en rouge dans l’image ci-contre), s’active.

Mieux, plus il est affecté émotionnellement par l’histoire, plus cette région cérébrale est sollicitée. À l’inverse, elle est beaucoup moins active lorsque les actions sont jugées positives. Selon les chercheurs, cette différence est liée au fait que l’individu est plus rationnel lorsqu’il juge une action positive, et peut notamment estimer que celle-ci n’est peut être que le résultat d’autres actions intéressées.

Dans l’exemple de l’histoire mettant en scène le PDG et sa bonne action pour l’environnement (la deuxième version donc, lorsque l’on remplace « nuirait à » par « aiderait »), les participants ont probablement davantage pensé que, puisqu’un chef d’entreprise a généralement pour objectif de gagner de l’argent, aider l’environnement pouvait constituer un effet secondaire involontaire…

Lise Loumé

Cet inconscient qui nous gouverne, comment l’apprivoiser ?

Lorsque les psychologues essaient de comprendre comment fonctionne notre esprit, ils parviennent souvent à une conclusion surprenante : nous prenons régulièrement des décisions sans y avoir réfléchi – ou, plus précisément, sans y avoir réfléchi consciemment.

Lorsque nous décidons pour qui voter, ce que nous allons acheter, où partir en vacances, par exemple, nous ne mesurons pas que c’est notre inconscient qui est aux commandes, ou du moins qu’il joue un rôle essentiel. De plus en plus de résultats de recherche confirment chaque jour à quel point il dicte sa loi.

L’une des études les plus connues sur le pouvoir de l’inconscient concerne la façon dont nous décidons des candidats que nous souhaitons voir élus. Dans une expérience réalisée aux États-Unis, les participants disposaient d’un temps très court (quelques dixièmes de seconde) pour observer des photographies. Il s’agissait de candidats à des postes de gouverneur ou de sénateur dans des États différents de ceux où les sujets de l’expérience votaient réellement. Ensuite, on leur demandait de prédire si ces candidats seraient ou non élus. De façon tout à fait surprenante, ce petit sondage se révéla cohérent avec le choix que les électeurs des États concernés firent au moment des élections réelles. Dans deux élections sur trois, les sujets avaient réussi à prévoir quels seraient les résultats, simplement en regardant une photographie des candidats en moins de temps qu’il n’en faut pour cligner des yeux.

Depuis plus de 100 ans, les scientifiques qui étudient comment fonctionne le cerveau s’intéressent au rôle des influences non conscientes sur nos pensées et nos actes.

Tout au long de ses écrits, Sigmund Freud présentait la conscience comme le lieu des pensées et émotions rationnelles, et l’inconscient comme celui de l’irrationnel. Mais les psychologues cognitifs contemporains ont repensé l’approche freudienne. Ils montrent que les deux types de processus coopèrent pour répondre aux défis auxquels nous sommes confrontés depuis l’âge de pierre – qu’il s’agisse de chasser le mammouth, d’exécuter des joutes équestres ou d’acheter et vendre des actions en Bourse.

LE ÇA ET LE MOI RELÉGUÉS AUX OUBLIETTES

La psychologie postfreudienne a relégué le Ça et le Moi aux oubliettes de la psychanalyse, et adopté une vision plus pragmatique de ce qui définit le soi non conscient. Les deux systèmes de pensée décrits par Daniel Kahneman , psychologue, et économiste , américano-israélien, présentent les processus de pensée automatiques comme rapides, efficaces et hors du domaine de la pensée consciente, autrement dit dépourvus de délibération ou de planification. Ils ne requièrent qu’un simple stimulus : les mots sur cette page, par exemple, se connectent sans effort à leur sens dans votre tête.

Au contraire, les processus contrôlés exigent un engagement déterminé et relativement lent de la pensée consciente ; c’est le cas, par exemple, des efforts que l’on doit fournir pour remplir sa déclaration de revenus.

Tout comme le Ça et le Moi de Freud, le système automatique et le système contrôlé se complètent, mais s’opposent aussi parfois. Il faut réagir instinctivement pour éviter une voiture, mais il faut aussi que nous nous contrôlions pour ne pas donner un coup de poing au chauffard qui a failli nous renverser.

De façon générale, plus l’influence de l’inconscient est forte, plus le contrôle cognitif conscient doit être important pour la surmonter. C’est particulièrement vrai de certains comportements : celui du sujet alcoolique qui, à peine rentré chez lui le soir, se verse un verre ; celui de la personne en surpoids qui ouvre un paquet de chips…

COMPRENDRE L’INCONSCIENT POUR MAÎTRISER SES PULSIONS

Pour ne pas se laisser submerger par des pulsions difficiles à maîtriser, il faut comprendre le rôle de l’inconscient. La capacité à réguler son comportement – qu’il s’agisse de se faire des amis, de s’adapter à un nouvel emploi ou de réduire une consommation excessive d’alcool – ne dépend pas seulement des gènes, du tempérament et du soutien de l’entourage. Elle découle aussi de la capacité à identifier ses pulsions ou émotions automatiques, et à les surmonter. Pour avancer dans la vie, nous devons apprendre à composer avec notre inconscient.

Les jugements que nous émettons sur les autres, notamment, sont en grande partie automatiques. Nous interagissons souvent avec des inconnus, que nous ne voyons qu’une seule fois. C’est le cas, par exemple, des personnes croisées dans la queue au cinéma, des caissiers de supermarchés, des chauffeurs de taxi, des serveurs de restaurant, etc. Dès que nous apercevons quelqu’un, une première impression se dessine avant même que nous n’ayons commencé à lui parler. Nous lui associons inconsciemment un comportement et une personnalité, même si nous ne disposons que d’informations très limitées.

La liste n’est pas exhaustive , mais on a la possibilité de réconcilier ces deux parties avec l’hypnose qui va travailler en profondeur sur certains comportements et problèmatiques.

N’hésitez plus, il y a forcément une technique qui va vous convenir pur vous libérer de tout ce que ne vous ne souhaitez plus .

Le Choix de l’Être vous remercie par avance de vos commentaires et avis.

Lorsque vous n’avez plus d’attentes, votre vie change !

J’aime agir de manière simple face à la vie, face à ma vie. Une de mes occupations quotidiennes depuis quelques jours, consiste à prétendre libérer la conscience de mes illusions ou de mes attentes éternelles, et tout ce que leur présence et leur existence peuvent générer dans ma vie.

Je me suis rendu compte que j’employais une grande quantité de mon énergie à m’imaginer dans une situation future que je désirais. Que je me concentrais bien trop sur le lendemain.

J’ai donc pris la décision de cesser d’attendre, de ne plus rien attendre de moi. Et lorsque l’on fait ce choix, notre cœur pousse un soupir de soulagement et notre âme commence à vivre véritablement.

En règle générale, nous sommes focalisés sur la manière dont nous devons vivre, sans nous rendre compte que nous nous conditionnons, et que nous ne vivons pas réellement.

Nous emprisonnons notre âme et nous la mécanisons.

J’ai donc décidé de retenir toutes les pensées qui tournaient autour de moi, autour de toutes les attentes que j’avais vis-à-vis de mon existence. En résumé, toutes mes illusions.

J’ai décidé d’arrêter de me créer des expectatives et de vivre uniquement à travers elles. Pour mieux me concentrer sur ce qui se passait dans ma vie au quotidien, pour profiter de tout ce que j’expérimente, au lieu de passer mon temps à attendre.“Ce qui est passé n’est plus, ce que vous attendez est absent, mais le présent est vôtre. »-Proverbe arabe-

Cessez d’attendre quelque chose des autres.

J’ai également décidé de cesser d’attendre quelque chose des autres. Que les personnes qui nous entourent nous valorisent, que notre partenaire nous comprenne, que nous nous comprenions nous-mêmes et que les autres aient confiance en nous, en notre potentiel et en notre savoir-faire ne sont pas des choses faciles. J’ai appris que le plus important était de croire en moi.

Si je fais quelque chose, je dois le faire parce que j’en aie véritablement envie, pas parce que j’attends que cela produise un quelconque changement.

Ne courez pas après l’argent dans votre quotidien.

Auparavant, j’attendais de recevoir d’importantes sommes d’argent comme la conséquence des opportunités professionnelles que j’espérais avec beaucoup d’appétit

Je me suis rendu compte que plus je me concentrais sur le matériel, moins je vivais la vie que je voulais vivre.

J’ai alors accepté de bon cœur tout ce que j’avais déjà et le fait que je n’aie pas besoin de plus pour me sentir bien avec moi-même, ou pour être heureux.

Je me suis aperçu que je ne profitais pas véritablement des moments que je vivais, car je me focalisais uniquement sur le futur, sur le fait de gagner toujours plus d’argent et de combler mes attentes.

Je perdais en réalité mon temps, car je ne me concentrais pas sur l’essentiel : l’instant présent.

Cessez d’attendre que tout soit parfait

Pourquoi vouloir sans cesse que tout soit parfait ? En réalité, en réfléchissant ainsi, je me suis rendu compte que je ne pouvais pas ressentir une véritable paix intérieure.

Ce sentiment que nous dissimulons tous au fond de notre âme et dont nous disposons depuis notre naissance. Nous avons tous la chance d’être des personnes uniques et extraordinaires.

Si vous cessez d’attendre que tout soit parfait, vous n’allez plus dépendre de votre entourage pour devenir la personne que vous êtes réellement.

Vous atteindrez plus facilement un état de sérénité et d’équilibre intérieur. Ce que personne ne doit avoir le pouvoir d’altérer. La perfection n’existe pas, j’ai cessé d’essayer de l’atteindre.

Ne pensez plus au lendemain

Si nous réfléchissons ainsi, c’est parce que nous avons peur de ne pas pouvoir surmonter toutes les choses dont nous avons peur et qui peuvent nous arriver.

J’ai donc commencé à me faire à l’idée de me dire à moi-même que ce qui doit se produire se produira, et que je dois toujours en tirer le meilleur.

Nous avons tous des projets. Je me suis aussi fixé des objectifs incroyables, mais lorsque nous valorisons uniquement notre vie en fonction des grandes opportunités que nous pourrions avoir, nos projets deviennent vite des moyens de comparaison avec les autres.

Les attentes que nous avons nous coûtent énormément d’énergie et nous obligent à nous focaliser sur quelques chemins en particulier, au lieu de nous permettre de voir toute l’étendue de l’horizon qui s’offre à nous. Notre esprit devient alors totalement concentré sur le « comment » et non pas sur le « pourquoi ».

J’ai toujours été en attente de quelque chose. J’ai toujours construit dans mon esprit une suite d’événements idéale qui me permettrait d’atteindre tous mes objectifs.

Cette pensée, au lieu de m’aider au quotidien, ne m’a apporté qu’une pression terrible qui m’obligeait à accomplir tous mes objectifs, avec le devoir de ne rien oublier.

Mon corps tout entier était tourné vers la crainte du lendemain et vers toutes ces choses que je devais mettre en place, sous peine d’échouer. Tout cela me provoquait d’incroyables angoisses.

Tout cela parce que je savais pas comment atteindre tous les objectifs que je m’étais fixé, parce que je ne pouvais pas combler toutes mes attentes. Mais, vous savez ce qu’il y a de plus drôle ?

Dès que j’ai cessé de penser à cette série mécanique que je devais mettre au point, j’ai commencé à avoir des réponses à mes questionnements les plus profonds et des idées exceptionnelles qui m’ont permises d’aborder la vie de manière plus simple.

J’étais fatigué psychologiquement et physiquement à cause de tout ce processus mental que je viens de décrire. J’étais sans cesse en train de me préparer pour un marathon éternel, qui n’emportait en moi que des déceptions.

J’étais coincé dans un paradoxe : plus je désirais quelque chose, plus je dépensais mon énergie vitale dans le processus qui devait me permettre de l’atteindre. 

C’est absurde, non ?

Après avoir mis fin à cette spirale négative, et m’être mis en accord avec tout ce dont mon âme et mon cœur avaient besoin, j’ai pu commencer à vivre véritablement ma vie comme un don du ciel.

J’ai commencé à valoriser toutes les choses que l’existence m’apporte et que je ne parvenais pas à accepter auparavant, car j’étais sans cesse en train d’essayer de répondre à la question « Comment vais-je y parvenir ? », au lieu d’essayer concrètement.

Tout ce que je viens de vous raconter peut se résumer comme ceci : j’ai cessé d’essayer de contrôler tout ce qui se passait dans ma vie et j’ai décidé de voir venir les choses, de ne plus avoir d’attentes.

L’existence dispose de son propre rythme, à la fois simple et inaltérable. Lorsque nous apprenons à l’accepter, nous pouvons commencer à en profiter et à ne plus vivre dans une attente éternelle, qui ne nous apporte finalement que du malheur.

“Faites confiance au temps, qui offre souvent les issues les plus douces aux plus amères difficultés. »-Miguel de Cervantes-

Le Burn Out, le Mal du Siècle ?

Presque 5 ans après, hélas, le phénomène est loin d’être réglé et a tendance même à s’amplifier .

Boris Cyrulnik, Neuro-Psychiatre, nous expliquait déjà ce qu’était le Burn Out !

Voici le lien de la vidéo

https://www.femmeactuelle.fr/sante/psycho/video-burn-out-cyrulnik-1948421#

N’attendez pas d’être à la limite de l’épuisement, pour prendre soin de vous.

le Choix de l’ Être vous offre la possibilité de choisir une technique, un thérapeute pour vous sentir mieux et enfin prendre Soin de vous !

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Voila pourquoi, couper des liens avec des membres de la famille toxiques est un acte sain.

Parfois, nous passons des années à sacrifier notre santé mentale et émotionnelle dans des relations abusives sous prétexte que nous devons supporter les membres de notre famille. Mais dans certains cas, couper les liens avec les membres de la famille est l’une des décisions les plus difficiles auxquelles nous pouvons faire face dans la vie, mais parfois c’est nécessaire !

Mais qui veut être la personne qui ne parle pas à sa famille ? Personne. Mais selon Sherrie Campbell, une psychologue licenciée en Californie et auteure du livre Loving Yourself : The Mastery of Being Your Own Person, parfois c’est nécessaire pour le bien de notre santé.

La réalité est que les membres de la famille ne sont pas toujours des gens sains pour vous, et si ces gens n’étaient pas de votre famille, vous ne les auriez jamais choisis pour faire partie de votre vie en raison de leurs mauvais comportements avec vous.

Campbell évoque plusieurs raisons de mettre fin aux relations avec des membres de la famille :

1. Abus mental et physique

Lorsque la relation est basée sur n’importe quel type d’abus mental, physique, sexuel, verbal ou émotionnel. Lorsque la relation est basée sur la manipulation, manifeste ou cachée, et que vous êtes utilisé et abusé. Lorsque vous vivez dans une anxiété constante, il est temps de vous aimer suffisamment pour partir.

2. Un contact constamment négatif

Il est temps de mettre fin à la relation avec des membres de la famille lorsque le seul contact avec eux est négatif. Le contact que vous avez avec eux sert toujours à vous rabaisser ou à vous faire sentir faible ou inférieur.

3. Beaucoup de stress

Lorsque la relation avec des membres de votre famille crée beaucoup de stress qui affecte les domaines importants de votre vie, au travail, à la maison ou les deux. Lorsque vos émotions sont totalement prises par le fait de vous défendre et de vouloir vous expliquer, il est temps de couper les ponts avec ces personnes.

4. Vous devenez obsédé par leurs ragots

Si vous vous trouvez obsédés par les ragots sur vous, que vous essayez de corriger les fausses informations, et que vous en perdiez même le sommeil, alors vous êtes envahis par la toxicité des membres de votre famille. 

5. Relation unilatérale 

Lorsque la relation tourne seulement autour de l’autre personne et qu’il n’y a aucune raison réelle pour laquelle l’autre ne peut faire aucun effort pour la santé et le maintien de la relation avec vous. Aucun échange. Mais les relations unilatérales sont vouées à l’échec. Maintenant, vous devez commencer à vous concentrer sur votre propre guérison.

6. Quand la relation ne concerne que l’emprunt ou l’argent

Si vous voyez que les membres de votre famille ne vous contactent que pour leur propre intérêt, pour avoir ou emprunter de l’agent, sachez qu’ils sont toxiques à votre bien-être et ne font que profiter de votre générosité. 

Les personnes toxiques ne sont pas corrigeables

Ce n’est pas à vous de «corriger» les gens toxiques, même si ce sont des membres de votre famille. Les personnes toxiques créent des drames et vivent dans un monde de négativité et vous devez choisir vous-même si vous pouvez tolérer leur comportement pour toute une vie ou s’il est temps de faire de votre propre bien-être une priorité.

Cela peut signifier de passer moins de temps avec eux, de ne pas partager avec eux des informations personnelles ou de vous déconnecter entièrement, temporairement ou définitivement de leur vie.

Réaliser que le membre de votre famille n’est pas disponible ou ouvert à vous aimer pleinement et complètement, et à découvrir le fait que vous ne pouvez pas faire appel à lui ou lui faire confiance, est l’une des réalisations les plus difficiles de la vie.

Ce n’est pas parce qu’ils sont membres de votre famille que c’est une relation fondée sur l’amour mutuel, le respect et le soutien les uns envers les autres. Vous êtes une famille par le sang et cela peut être le seul lien qui existe dans votre relation. 

Vous avez le droit d’avoir une vie saine et heureuse

Vous méritez d’être traité avec amour et respect. Vous ne pouvez pas vivre sainement si vous êtes constamment envahi par leur toxicité.

Vous ne vivrez pas une vie positive que vous méritez dans l’entourage d’une personne toxique qui vous blesse délibérément et vous empêche de connaître le vrai bonheur.

Pratiquer l’amour de soi et prendre soin de soi chaque jour sera un nouveau concept pour vous, mais avec le temps, vous verrez et sentirez que c’est le bon pas vers une vie nouvelle et épanouissante.