La Sophrologie, tout ce que vous ne savez pas.

On croit tout savoir de la sophrologie et pourtant elle conserve une image floue auprès du grand public, allant de l’ésotérisme à la relaxation, en passant par l’hypnose.

On croit tout savoir de la sophrologie et pourtant elle conserve une image floue auprès du grand public, allant de l’ésotérisme à la relaxation, en passant par l’hypnose.

A la fin des années soixante, son créateur, le neuropsychiatre Alfonso Caycedo, notant la rupture de la conscience chez ses patients, choisit d’étudier les pratiques orientales sur la conscience et de trouver une approche alternative à la camisole chimique ou aux électrochocs, trop violents et réductifs à son goût et sans espoir d’évolution positive.

Dans cette optique, la sophrologie est créee en opposition à la schizophrénie, l’un étant l’étude de l’équilibre de la conscience, le second étant la rupture de la conscience. Précurseur, Caycedo décèle les nouvelles maladies de civilisation dues au stress, au déséquilibre du corps et de l’esprit et étend le champ de la sophrologie neuropsychiatrique au bien-être physique, émotionnel et mental de chacun.

La sophrologie agit sur le corps et l’esprit

Rassemblant les techniques de relaxation de Schultz et de Jacobson pour le corps, l’hypnose, la visualisation, les techniques « concentratives » de méditation pour le mental, les exercices de respiration des yogis pour les émotions, la sophrologie agit sur le corps et l’esprit. La relaxation dynamique, composante applicative et dynamique de la sophrologie, réhabilite la réalité objective de notre schéma corporel (réalité qui n’est plus accessible au schizophrène) et stimule les méridiens qui traversent notre organisme, libérant ainsi un nouvel état de bien-être corporel et mental.

Bien dans sa tête et dans sa peau en toutes situations

La pratique répétée de la sophrologie produit de nouvelles stimulations neuronales dans notre cerveau. Le bien-être ressenti et intégré en fin de séance de sophrologie nous donne rapidement envie de pratiquer à nouveau…enfin une addiction sans effet toxique à la clé! Nous ressentons alors un état harmonieux résultant de l’équilibre du corps et de l’esprit, cette sérénité qui nous fait tant défaut dans notre vie stressante ou lors de douleurs chroniques. Être bien dans sa tête et dans sa peau en toutes situations pourrait être le credo de la sophrologie.

Quand la sophrologie augmente le potentiel et la performance

Ce sont les sportifs de haut niveau qui se sont rapidement approprié les bénéfices de la pratique de la sophrologie en préparation mentale, ainsi que les étudiants pour optimiser leurs réussites aux concours. Chacun redoute le stress qui paralyse. Les dirigeants en ont vu leurs intérêts pour faciliter leurs prestations professionnelles devant public, leurs confiances en eux, leurs créativités, idem pour les artistes.

Le mythique golfeur espagnol Ballesteros, élève de Caycedo, les tennismen comme Noah et maintenant Tsonga, les équipes de ski, même de football, joueurs de bridge, sports équestres, musiciens, chanteurs (la sophrologie aide les apprentis de The Voice à gérer leur trac lors des directs), les acteurs, tous pratiquent la sophrologie.

Mais aussi dans un domaine plus secret le GIGN, les commandos avec le programme TOP (Techniques d’Optimisation du Potentiel), cette sophrologie adaptée aux militaires permet à chacun d’optimiser ses ressources avant, pendant et après les missions. Leurs objectifs: tirer parti du plus de la sophrologie; à savoir, être le plus serein et en même temps le plus réactif en fonction de la situation. Un mot-clé de la sophrologie est l’adaptabilité. Souvent pour décrire cette hyper-sensation, je donne l’image d’un lion dans la savane, calme mais suffisamment vigilant pour piquer un sprint à tout moment opportun. La sophrologie, combinant des exercices spécifiques de respiration et de visualisation, offre une efficace gestion du stress pour une meilleure performance.

Quand la sophrologie prête main forte à la médecine de pointe

Parallèlement les dentistes et les sages-femmes ont diffusé les techniques de sophrologie pour la gestion de la douleur. Et même si depuis, les molécules anesthésiantes se sont diversifiées, la gestion de la douleur par la sophrologie reste un recours précieux pour les patients en douleurs chroniques, que la chimie, la morphine ne soulage plus.

Les migraineux chroniques trouvent aussi dans la sophrologie une ressource au-delà de leurs croyances. La mobilisation du système nerveux autonome lors des exercices spécifiques de respiration pendant une séance de sophrologie devient un anti douleur, disponible 24h sur 24h, où que l’on soit en réunion, en déplacement, au travail, dans son lit.

Depuis quelques années, se basant sur les résultats positifs des sportifs de haut niveau, qui ont eu un accident et récupèrent infiniment mieux quand ils pratiquent la sophrologie, des protocoles pour les cancers, les opérations délicates bouleversent positivement les statistiques de récupération et deviennent une approche complémentaire indispensable pour rétablir un équilibre corps-esprit.

La sophrologie utilisant l’activation de la pensée par la pleine conscience de l’attention, c’est-à-dire canaliser sa pensée à l’instant présent sur une partie du corps, une image ou un mot, s’est révélée intéressante dans les troubles de l’attention, les hyperactifs, Alzheimer. La sophrologie, tout comme la méditation, se montre applicable dans les nouvelles maladies.

Quand la sophrologie résonne pour soigner les bleus de l’âme 

Troubles des émotions, troubles de l’humeur, dépression, deuil, angoisse, phobie, bégaiement, acouphènes, mais aussi tout ce qui touche le soma, c’est-à-dire tous les maux qui s’expriment par le corps à la place de vos mots, spasmophilie, malaise vagal, trouvent en la sophrologie et grâce à l’alliance faite avec le sophrologue une résonance d’amélioration vers un mieux-être.

Les compagnies aériennes ont compris l’intérêt d’intégrer les séances de sophrologie dans leur stage de gestion de la peur de l’avion.

Pour finir cette approche non exhaustive de la sophrologie et parce que la demande est en constante augmentation, même chez les enfants, savez-vous que la sophrologie est une solution idéale pour retrouver votre sommeil. Solutions étudiées et mesurées dans les centres de sommeil, intégrées dans les stages de sommeil et que vous pouvez apprendre avec votre sophrologue.

A chacun sa sophrologie

Le sophrologue pratique avec vous, adapte un protocole spécifique à vous. Chaque séance de sophrologie est riche de clés. Pratiquer cinq à dix séances, permet de laisser son corps et son esprit s’approprier de multiples solutions. Car l’enjeu de la sophrologie, c’est de nous rendre autonome, libre, à nouveau créateur de nouvelles possibilités pour notre santé, notre vie, nos émotions.

Nous sommes à votre écoute au « Choix de l’être »

Pour toute information complémentaire ou rdv contactez Philippe lantelme

Merci de votre confiance

Pourquoi est-il important d’arrêter de se plaindre ?

Pourquoi se plaindre ? 

Tout le monde connait ce comportement comme témoin. J’ai moi-même pratiqué l’exercice en vrai « professionnel »! 

Combien de fois avons-nous dû écouter certaines personnes se plaindre, avec ou sans raison, et écouter à quel point leur vie est difficile, comme il est compliqué de sortir chaque jour pour lutter et toute la malchance qu’ils ont eue….. à cause des « autres ».

« Se plaindre est toujours la non-acceptation de ce qui est. Il porte toujours une charge négative inconsciente. Lorsque vous vous plaignez, vous faites de vous une victime. Quittez la situation ou acceptez-là. Tout le reste est folie. »
– Eckhart Tolle

Se plaindre est, sans aucun doute, la mère des problèmes émotionnels contemporains. Il ne fait aucun doute que de stopper ce type de stratégies en se focalisant sur l’instant présent, en prenant vraiment conscience du bonheur de simplement respirer, de plus en plus de personnes pourraient se sentir de mieux en mieux, facilement.

Nous vivons à une époque dans laquelle plus les gens ont de choses et de facilités, moins ils sont heureux. La consommation d’antidépresseurs et autre somnifères est scandaleusement importante; les dépendances diverses sont bien trop fréquentes.

J’en ai été un témoin actif.

Nous nous sommes habitués à avoir besoin de toujours plus et d’en faire tout un drame lorsque cette nécessité, cette invention, de besoins non vitaux inventés de toutes pièces, ne produit qu’une satisfaction éphémère: c’est la société « dopamine ».

Les neurosciences et les connaissances que nous avons du fonctionnement du cerveau démontrent clairement que changer est possible. C’est un choix dont chacun dispose.

Comment sont les personnes râleuses ?

Elles voient toutes les choses de façon négative et disposent de ressources intarissables pour utiliser une paire de lunettes de couleurs sombres avec verre déformant. C’est leur carte du monde, peut-être la vôtre.

Les personnes qui se plaignent ne sont jamais satisfaites de rien. Elles désirent quelque chose, se plaignent si elles ne l’obtiennent pas, et lorsqu’elles l’obtiennent, elles se plaignent de nouveau.

Que la situation qu’elles vivent soit positive ou qu’elles aient vécu de grandes réussites personnelles ou professionnelles; le « Oui, mais… » est très utilisé par celles et ceux qui aiment à se plaindre!

Au final, cette attitude les empêche de profiter de quoi que ce soit et les rend aigries envers elles-mêmes et envahissent l’humanité avec leur toxicité. Les personnes dépendantes affectives dans leurs relations connaissent très bien le sujet… je connais très bien le sujet.

Elles ne cherchent pas de solutions ou font semblant de les rechercher : Il est bien plus facile de déblatérer, de critiquer ou de dilapider sur ce qui ne s’est pas passé comme on l’aurait voulu que de chercher des solutions pour changer ce qui est rattrapable. Chercher des solutions aux problèmes implique d’arrêter de tomber dans la victimisation et de commencer à se battre pour ce que l’on veut, ce qui requiert un effort que de nombreuses personnes ne sont pas disposées à faire.

Encore une fois par exemple dans une  relation sentimentale toxique, la recherche de solution peut être simplement un moyen de manipuler. C’est pervers, mais ça existe.

Elles cancanent et critiquent : Les personnes râleuses sont, en général, critiques envers les autres et envers les circonstances de leur vie, ce qui est dû à leur propre malheur et leurs propres carences. Rappelons-nous qu’en critiquant les autres, nous critiquons en réalité nos propres défauts.
Le problème ne réside pas dans la critique ou dans ce qui leur est arrivé, non, mais en elles-mêmes, car elles ne savent pas apprécier ni valoriser les belles choses de la vie en général et les belles choses que les autres leur apportent. Leur attention est totalement centrée sur ce que ces personnes considèrent comme négatif et elles sont donc incapables de voir le côté positif de toute chose.

Elles n’acceptent pas d’entendre que changer est possible : Pour ce genre de personnes, l’acceptation ne fait pas partie de leur vie.

Elles ne peuvent pas tolérer que les choses ne se déroulent pas comme elles le souhaitent et se disent qu’il est insupportable, intolérable et désastreux que le monde fonctionne de la sorte !

J’ai fonctionné ainsi et je peux affirmer que dès que j’ai décidé de changer, je n’ai plus perçu le monde de la même manière. J’ajoute que modifier certains comportements modifie votre signature énergétique et votre environnement se transforme également, comme la perception du monde qui vous entoure.

C’est une expérience que j’invite à vivre à tous ceux qui ne l’ont pas encore vécu.

Raisonner de cette façon empire leurs problèmes et les empêche, évidemment, de trouver des solutions, ce qui engendrera une grande anxiété et une souffrance importante ressentie dans le corps avec un système endocrinien qui va être dysfonctionnel.

Que faire pour arrêter de se plaindre ?

  1. Stop au jugement : vous n’êtes le juge de rien du tout, ni de personne, alors le plus intelligent et sensé et de ne rien dire de temps en temps et de s’adapter aux circonstances. Quand vous jugez quelque chose ou quelqu’un, c’est vous-même que vous jugez. Cherchez bien, en vous observant dans un miroir… ce qui est encore inconfortable chez vous…
  2. « Je m’aime et me respecte totalement et complètement » : Cette phrase utilisée en EFT prend tout son sens. L’acceptation est une soin coloré puissant qui permet d’obtenir la paix intérieure et plus de bonheur. Si nous nous rendons compte qu’il y a de nombreuses situations, personnes ou événements sur lesquels nous n’avons aucun pouvoir ou contrôle, nous apprendrons à réduire nos attentes et accepter les choses comme elles viennent.
  3. Stop aux pensées négatives : les mots sont le produit de nos pensées, de ce que nous nous disons à nous-mêmes. Nos pensées seront notre réalité future. Si nous savons combattre les idées négatives et irrationnelles, il sera très difficile de tomber dans la victimisation, les critiques et la plainte continue. Les exercices d’automotivation par une routine différente et la création de phrases positives à répéter plusieurs fois par jour et un outil efficace pour changer. Faire comme si est excellent pour amorcer le changement.
  4. Focus sur le positif : toute chose a un côté positif, tout n’est qu’information. Si vous faites un effort conscient et que vous commencez à énumérer tout le positif qu’il y a dans votre vie, vous vous rendrez compte qu’il y a plus de choses belles et agréables que vous ne le pensiez. Observez les choses sous un autre angle, changez la couleur et la correction de vos lunettes déformantes. Le changement, votre changement, commence toujours en soi-même, non à l’extérieur.

Et vous, jugez-vous encore facilement ? Que détestez-vous encore en vous-même pour continuer de la même manière inconfortable pour vous et surtout pour le monde ? Ce comportement est votre miroir !

Ne perdez pas de temps à haïr ceux qui vous font du mal ….

Ignorez-les et poursuivez votre chemin…..

Il est arrivé à tout le monde, tôt ou tard, de s’enflammer par une offense reçue, ou, en général, d’être en colère contre le comportement de quelqu’un.

Parfois, on a rendu la pareille, en réponse de notre orgueil blessé ; mais parfois, on s’est retenu, en écoutant les sages paroles  : « Laisse tomber, ignore-le ».

Dans le premier cas, on a sans doute aggravé la situation et on s’est énervé ; dans le second cas, on a agi comme il le fallait – au moins comme nous l’enseigne la philosophie bouddhiste.

Avec un récit très simple, celle-ci nous montre comment notre bonheur dépend parfois du fait d’ignorer les autres.

Un jour, un homme s’approcha de Bouddha et, sans dire un mot, lui cracha au visage.

Ses disciples se mirent en colère.

Ananda, le disciple le plus proche, demanda à Bouddha

« Donne-moi la permission de donner à cet homme ce qu’il mérite ! »

Bouddha s’essuya calmement et répondit : « Non, je vais lui parler. »

Unissant les paumes de ses mains en signe de révérence, il dit à l’homme : « Merci.

Par ton geste, tu m’as permis de voir que la colère m’a abandonné.

Je te suis extrêmement reconnaissant.

Ton geste a aussi montré qu’Ananda et les autres disciples peuvent encore être assaillis par la colère.

Je te remercie ! Nous t’en sommes très reconnaissants ! »

L’homme n’en croyait pas ses oreilles, et il fut ému : la nuit, il fut pris d’un tremblement dans tout son corps et ne put dormir.

Bouddha avait balayé toute sa façon de vivre et d’agir.

Le lendemain, l’homme retourna vers le Bouddha et, se jetant à ses pieds, demanda pardon pour son comportement.

Mais le maître lui expliqua qu’il n’y avait rien à lui pardonner : « De même que le courant du Gange fait en sorte que son eau ne soit plus jamais la même, de même l’homme n’est plus le même qu’avant. Je ne suis plus la même personne à qui tu as fait quelque chose hier. Et même celui qui m’a craché dessus hier n’est plus. Je ne vois personne en colère comme lui. Maintenant tu n’es plus le même homme qu’hier, tu ne me fais plus rien, donc il n’y a rien que je doive te pardonner. Les deux personnes, l’homme qui a craché et l’homme qui a reçu le crachat, ne sont plus là. Maintenant, parlons d’autre chose. »

Le récit enseigne que l’honnête personne qui est dans le juste n’a pas besoin de réagir aux offenses, car elles sont le fruit de ceux qui ont une image déformée de la réalité.

Par conséquent, ne lui donnez pas d’importance, en laissant modifier votre équilibre psychologique. Tout change et il faut avoir l’intelligence de le comprendre, et ne pas se fâcher pour quelque chose qui n’existe plus dans le présent.

A cette fin, il peut être utile d’adopter la technique de « l’acceptation radicale » : développée par la psychologue Marsha M. Linehan de l’Université de Washington, elle implique de laisser de côté les jugements.

En fait, si quelqu’un nous offense, c’est parce que nous nous attendons à quelque chose de très différent.

La distance psychologique nous protège d’une situation qui pourrait nous nuire sur le plan émotionnel.

Un concept universel, et peut-être plus clairement compréhensible avec les mots du Bouddha.

Des Guérisseurs et Coupeurs de feu, font leur rentrée à l’hôpital.

Accompagnés de quelques incantations, les gestes des rebouteux stopperaient les brûlures… Surprenant, mais certains hôpitaux les recommandent !

Ce reportage heurtera peut-être les plus cartésiens d’entre nous. Mais les guérisseurs ont toujours occupé une place centrale et, malgré les progrès de la science et de la médecine, de nombreux français font toujours appel à eux. Plus fort encore : depuis quelque temps, même les hôpitaux recommandent parfois le recours à ce type de service ! C’est ce que démontre cette étonnante enquête de France 2.

Ici, les journalistes se sont plus particulièrement penchés sur le cas des coupeurs de feu, ces rebouteux qui, à l’aide de quelques mouvements et de brèves incantations, seraient capables de mettre fin à une brûlure. Même celle qu’occasionne une radiothérapie.

Nous sommes nombreux à connaître des gens qui assurent avoir été guéris grâce à ce type de « soins ». Ce qu’on ne savait pas, c’est que mêmes des médecins se laissaient aussi convaincre.

Détails et explications dans ce reportage signé par la rédaction de France 2 .

Alors, pouvoirs surnaturels ou pouvoir de l’auto-suggestion ? 

Chacun se fera son idée au regard de ses propres croyances et expériences.

Mais, après tout, personne n’est obligé de trancher : on peut aussi laisser la place au doute

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Alors, pouvoirs surnaturels ou pouvoir de l’auto-suggestion ? 

Chacun se fera son idée au regard de ses propres croyances et expériences.

Mais, après tout, personne n’est obligé de trancher : on peut aussi laisser la place au doute

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Comment changer ses pensées négatives en pensées positives

Il y a une théorie selon laquelle, l’accumulation de « micro-moments de positivité » dans la journée peut au fil du temps, provoquer un bien-être plus général.

Notre capacité à générer des émotions positives de nos activités quotidiennes peut être déterminant. Ces brefs instants de sentiments positifs, en se répétant,  peuvent agir comme un tampon contre le stress et la dépression et, au final, favoriser la santé tant physique que mentale.

Cela ne veut pas dire qu’il faut toujours être positif pour être en bonne santé et heureux. De toute évidence, il y a des moments et des situations qui entraînent naturellement des sentiments négatifs, même pour les plus optimistes d’entre nous. L’inquiétude, la tristesse, la colère et autres soucis ont leur place dans une vie normale.

Mais l’affichage chronique du « verre à moitié vide » est préjudiciable à la fois mentalement et physiquement, cela inhibe nos capacités de réaction face aux contraintes inévitables de la vie.

Les sentiments négatifs activent une région du cerveau appelée l’amygdale, qui est impliqué notamment dans le traitement de la peur et de l’anxiété.

Il a été démontré que la capacité « plastique » du cerveau, est capable de générer de nouvelles cellules neuronales et de former de nouveaux circuits de réponses positives, avec de l’entraînement.

Autrement dit, une personne peut apprendre à être plus positive en pratiquant certaines compétences qui favorisent la positivité.

Apprendre à positiver avec la méditation

Par exemple, l’équipe du Dr Fredrickson a révélé que six semaines de formation à une technique de méditation portée sur la compassion et la gentillesse, ont donné lieu à une augmentation des émotions positives et d’appartenance sociale, ainsi qu’une amélioration des fonctions de l’un des principaux nerfs qui aident à contrôler la fréquence cardiaque.

La fréquence cardiaque varie alors davantage. D’apès Fredrickson, cela permet un meilleur contrôle de la glycémie, moins d’inflammation et une récupération plus rapide après un infarctus.

L’équipe du Dr Davidson a montré que deux semaines de formation à une méditation de compassion et de bonté, suffisent à générer des changements dans les circuits cérébraux liés à une augmentation des comportements sociaux positifs comme la générosité.

10 citations de Carl Gustav Jung

Carl Gustav Jung est le fondateur de la psychologie analytique et penseur influent, il est l’auteur de nombreux ouvrages.

Son œuvre est liée à la psychanalyse de Sigmund Freud dont il a été l’un des premiers défenseurs et dont il se sépara par la suite en raison de divergences théoriques et personnelles.

Dans ses ouvrages, il mêle réflexions métapsychologiques et pratiques à propos de la cure analytique. Jung a consacré sa vie à la pratique clinique ainsi qu’à l’élaboration de théories psychologiques, mais a aussi exploré d’autres domaines des humanités : depuis l’étude comparative des religions, la philosophie et la sociologie jusqu’à la critique de l’art et de la littérature.

Il a été un pionnier de la psychologie des profondeurs :

il a souligné le lien existant entre la structure de la psyché (c’est-à-dire l’« âme », dans le vocabulaire jungien) et ses productions et manifestations culturelles.

Il a introduit dans sa méthode des notions de sciences humaines puisées dans des champs de connaissance aussi divers que l’anthropologie, l’alchimie, l’étude des rêves, la mythologie et la religion, ce qui lui a permis d’appréhender la « réalité de l’âme ».

Si Jung n’a pas été le premier à étudier les rêves, ses contributions dans ce domaine ont été déterminantes. On lui doit également, entre autres, les concepts d’inconscient collectif , d’archétypes , d’individuation , de types psychologiques , de complexe , d’ imagination active de déterminisme psychique et de synchronicité.

L’empathie, un sentiment très animal.

Des oiseaux sensibles au stress de leur partenaire, des rats qui sauvent leurs congénères de la noyade…

La faculté de ressentir les émotions d’autrui, longtemps attribuée uniquement à l’homme, est en réalité partagée par bien des espèces.

Dans un couple soudé de diamants mandarins, ( voir photo oiseaux ) la femelle qui détecte un stress chez son partenaire l’éprouve à son tour.

En revanche, l’angoisse ressentie par un mâle étranger n’a aucune chance de l’affecter.

Chez le rat, les femelles font davantage preuve d’empathie que les mâles

Étudier l’empathie chez les animaux domestiques n’est cependant pas une mince affaire. Par quelles manifestations physiologiques, quels comportements s’exprime-t-elle ? « Nous n’en sommes encore qu’au tout début des connaissances, sachant qu’on a longtemps cru que cette qualité était réservée aux humains », souligne Claude Paolino, zoo-psychiatre dans le Var. Animaux de laboratoire types, les rats ont toutefois fait l’objet de nombreuses recherches sur leurs capacités d’entraide.

Les poissons sont ainsi dotés d’une des formes les plus primitives de l’empathie, qui se manifeste par l’imitation et la synchronisation des comportements. Ce qui assure une protection contre les prédateurs. Un poisson ressent un danger… et c’est tout le banc qui fuit ! Une stratégie de défense également observée chez les chevaux. En cas de menace, il suffit qu’un individu détale pour que sa réaction se propage immédiatement au groupe. Ce comportement relève plus précisément de la « contagion émotionnelle » qui consiste, selon les mots du neurologue Jean Decety, professeur à l’université de Chicago (États-Unis), en un « transfert d’émotion d’un individu à l’autre ». Il permet au banc ou au troupeau d’apprendre de quelques-uns de ses membres qu’une situation est sûre ou dangereuse sans avoir à l’expérimenter directement

L’un des critères d’évaluation du bien-être animal dans les élevages est d’ailleurs la transmission d’émotions positives. C’est ce qu’Inonge Reimert, chercheuse en neurosciences à l’université Wageningen aux Pays-Bas, a étudié depuis 2010 pour les porcs, à travers diverses expériences. Des paires de cochons ont ainsi été soumises soit à un traitement positif – enclos avec litière de tourbe et paille ainsi que friandises (raisins secs, chocolat) -, soit à un traitement négatif d’isolement social. Puis les binômes ont été conduits dans une salle de test où les retrouvaient d’autres porcs, dits naïfs. Les chercheurs ont alors observé que les animaux bien soignés jouaient et remuaient la queue, tandis que ceux qui avaient été négligés étaient en alerte, urinaient et déféquaient plus fréquemment. Il est également apparu que leurs comportements affectaient leurs congénères naïfs par contagion émotionnelle. Et dans le cas du traitement négatif – qui impactait plus fortement les autres cochons -, l’effet de stress se prolongeait après la fin de l’expérience. De quoi s’interroger sur les pratiques d’élevage qui concentrent dans de mêmes enclos un très grand nombre d’animaux en souffrance.

Étudier l’empathie chez les animaux domestiques n’est cependant pas une mince affaire. Par quelles manifestations physiologiques, quels comportements s’exprime-t-elle ? « Nous n’en sommes encore qu’au tout début des connaissances, sachant qu’on a longtemps cru que cette qualité était réservée aux humains », souligne Claude Paolino, zoo-psychiatre dans le Var. Animaux de laboratoire types, les rats ont toutefois fait l’objet de nombreuses recherches sur leurs capacités d’entraide.

Alors, Preuve est faite que l’empathie touche tout le règne animal, dont l’humain fait évidemment partie !

Le burnout maladie des temps modernes !

Le burnout concerne pas moins de 3.2 millions d’actifs en France et n’est toujours pas reconnu au titre de maladie professionnelle. Le pire est qu’il touche les employés les plus dévoués et investis…

Le burnout, ou épuisement professionnel, est en pleine explosion dans notre pays. Les candidats au développement de cette maladie professionnelle ne sont pas moins de 3,2 millions en France, selon une étude récente .

Pourtant le burnout ne figure toujours pas au registre des maladies professionnelles reconnues par l’administration. Le sujet récemment évoqué à l’assemblé nationale, a finalement été rejeté. Pourtant cette reconnaissance favoriserait la prise en charge de la maladie et permettrait un meilleur soutien financier pour le malade.

Le Burnout : la maladie du siècle

Le burnout, en français le Syndrome d’épuisement professionnel, sont des termes qui apparaissent au tout début des années 70. Ils sont alors employés pour qualifier l’état d’affaiblissement général et psychique constaté chez les professionnels dont le métier demande beaucoup d’abnégation : médecins, infirmières, travailleurs sociaux ou enseignants.

Maintenant, on sait que le syndrome d’épuisement professionnel touche tous les secteurs d’activités, bien que certains soient bien plus affectés que d’autres. Les exigences professionnelles sont de plus en plus fortes.

Compétitivité et résultats financiers sont les bourreaux modernes du monde du travail.

D’ailleurs, la société ne porte même plus l’idée du bonheur au travail. Les préoccupations du jour pour les décideurs politiques sont par exemple : le coût que représente le niveau du smic pour les entreprises…

Les symptômes du burnout

Encore assez peu connu dans la population, la personne atteinte peut croire à une simple dépression légère à modérée, puisqu’il ne présente pas l’ensemble des symptômes du dépressif.

Il développe par contre d’autre symptômes, propres au burnout: un état d’épuisement mental, physique et émotionnel grave qui survient petit à petit, sournoisement, après de longs mois voire des années d’exposition à des situations de stress intense.

Un jour, l’épuisement est devenu total.

La personne est alors littéralement clouée au lit ou dans son canapé des journées entières, jusqu’à ce qu’elle accepte de se soigner. La situation est effrayante pour le malade ainsi diminué : lui qui débordait d’énergie au travail se retrouve sur les genoux, incapable de se relever. Il est alors en proie à l’angoisse en face du vide que représente son inaction.
Sa capacité de raisonnement s’est évanouie, les décisions les plus élémentaires s’avèrent impossibles à prendre. La mémoire fait défaut. Tenir une conversation est pénible. Des choses simples comme écrire, prendre sa voiture, utiliser un ordinateur plongent le malade dans la panique.
Jusqu’au jour où le corps lui aussi déclare forfait. Des douleurs surgissent et différents troubles psychosomatiques apparaissent, comme des messages que le cerveau transmet à travers le corps du malade qui n’entend pas raison.
Qui est concerné?

Une étude récente met en évidence que 3,2 millions d’actifs déclarent être soumis fréquemment à un stress important ou modéré, lié au travail qu’ils occupent.
Ce syndrome concerne les professionnels les plus dévoués qui aiment profondément leur métier. Ceux dont l’investissement au travail est important, trop important. Dans certaines catégories professionnelles les gens sont plus exposés au stess et donc au burnout.
Si l’employé dévoué manque de reconnaissance de sa hiérarchie et/ou de son environnement professionnel, les conditions propices sont réunies pour le faire plonger.
Comment en arrive-t-on là ?
Le burnout est une « déflagration interne » ou implosion, résultant d’une rencontre passionnée et passionnelle entre :
un candidat passionné bourré de talent et de générosité
un projet professionnel qui inspire le dépassement de soi et demande d’être performant
Il existe des facteurs personnels qui favorisent cette implosion :
une tendance au perfectionnisme
une exigence exacerbée
le peu d’estime de soi
un niveau d’anxiété anormal
certaines formes de rigidité
des difficultés à percevoir et exprimer les émotions
des comportements de type « sauveur »
un sentiment de devoir « donner sa vie pour les autres »
L’épuisement professionnel est la conséquence d’une fracture entre la personne et son intériorité. Ses valeurs profondes n’ont plus leur place dans son environnement professionnel. C’est une véritable négation de la personne dans ce qu’il a de plus humain. C’est trop largement insupportable pour que le cerveau s’en accommode : il développe la maladie.

L’engrenage est presque inévitable, il est en tout cas très fort. Ce qu’il y a de plus humain en nous ne peut être délibérément mis de côté sans que des dommages importants en découlent. Croire le contraire est idiot et dangereux.
Comment s’en sortir ?
Il faut prendre les signaux d’alarme au sérieux. Dès lors que « cet état dépressif latent » s’est installé, il faut consulter son médecin. Entrer dans une démarche de soins et bien sûr : s’arrêter un temps de travailler pour s’occuper de soi avec bienveillance, comme on le fait pour ceux que l’on aime.
Il faut simplement s’arrêter de courir pour souffler un bon coup. Laisser le silence, le vide puis le doute s’installer. Viendra ensuite le temps de la remise en question.

Quand enfin, le miraculé a identifié les éléments déclencheurs du burnout; puis réorienté sa vie pour renouer avec ses valeurs profondes qui sont sa force,  il retrouve son humanité et la santé.
Le problème est identifié
Le monde du travail devient de plus en plus exigeant, de plus en plus impitoyable. Des gens volontaires et dévoués sont broyés sur l’édifice de la sacro-sainte rentabilité économique.
Une toute petite partie de la population tire des bénéfices de cette situation. Mais… rien n’est acquis, rien n’est définitif.

Faites très attention, le burnout, on y vient malgré soi, on y glisse insidieusement. Une fois qu’on y est, le processus de guérison, le retour à la normale est long, très long. Peut-être seriez-vous bien avisé de vous renseigner davantage que ne le fait cet article.  


Ondes électromagnétiques : comment s’en protéger à la maison?

On ne les voit pas, et pourtant, les ondes électromagnétiques sont partout chez nous. Du micro-ondes au Wi-Fi, du téléphone portable aux ampoules, la quasi-totalité de nos équipements électroniques en produisent. Quand on sait que ces ondes électromagnétiques sont possiblement cancérigènes, d’après l’Organisation Mondiale de la Santé, alors mieux vaut s’en protéger. Apprenez ces gestes simples, qui ne coûtent rien pour réduire votre exposition et celle des membres de votre famille.

C’est vrai, leurs effets sur notre santé sont une source de débats intenses depuis de nombreuses années, sans pouvoir atteindre de conclusions unanimes. Les enjeux économiques sont tels, qu’il est bien difficile de se fier aux « experts » dont l’indépendance, elle aussi, fait débat.

Le mieux est de prendre les devants afin de se protéger autant que possible, en attendant d’y voir plus clair. Vous serez bien content, si d’aventure on vous explique dans quelques années, que finalement ces ondes électromagnétiques ne sont pas si inoffensives qu’on avait pu le croire.

Pour certaines personnes qui y sont allergiques, la question ne se pose pas. Pour l’OMS, la question est posée, mais n’est pas tranchée. L’organisation les considère comme de « possibles cancérigènes ».

Dans le doute donc, il est recommandé d’éviter au maximum de s’exposer aux ondes électromagnétiques. Ou les trouve-t-on ? Comment s’en protéger simplement, sans tout chambouler dans ses habitudes ? Les réponses à ces questions sont ici.

Voici plusieurs habitudes simples à prendre au quotidien pour limiter l’impact des ondes électromagnétiques sur votre organisme et celui de vos proches. Notez que ces ondes représentent un danger plus important pour les femmes enceintes, les nourrissons et pour les adolescents.

ondes électromagnétiques

Utilisez votre téléphone portable prudemment

En ce qui concerne les ondes électromagnétiques, le téléphone portable est sûrement l’ennemi n°1. On sait déjà tous qu’il faut éviter à tout prix de dormir près de son téléphone, mais c’est loin d’être la seule précaution à prendre à son égard. Une première chose évidente à laquelle on ne pense pas toujours : coupez le Wi-Fi quand vous n’en avez pas besoin !

L’éteindre la nuit. Tout d’abord, il faut savoir qu’il continue à produire des ondes électromagnétiques même lorsqu’il est en mode avion. Il est donc toujours préférable de l’éteindre pendant la nuit, ou dès que vous n’en avez pas l’utilité pour plusieurs heures. Notez que c’est aussi une façon de se déconnecter un temps durant dans la journée, ce qui est appréciable.

Mauvais réseau. Évitez également de l’utiliser lorsque le réseau n’est pas bon ou lorsque vous êtes en mouvement, dans un train par exemple. Dans ces situations, en effet, votre téléphone portable peut aller jusqu’à doubler son volume d’ondes électromagnétiques afin de recevoir un signal suffisant qui vous permettra de passer un appel.

Passer un appel. Lorsque vous appelez quelqu’un, pendant que votre téléphone recherche votre correspondant, sa production d’ondes électromagnétiques est à son maximum. Éloigner le de votre tête jusqu’à entendre la première sonnerie. À cet instant, la densité des ondes néfastes retombe à un niveau normal, vous pouvez alors le porter à votre oreille.

En voiture. Il est conseillé de ne pas téléphoner en voiture car l’habitacle empêche les ondes de sortir. Elles planeront donc autour de vous, vous exposant davantage comparé à un usage en plein air.

Faites attention au téléphone fixe

Le téléphone fixe sans fil est aussi un grand émetteur d’ondes électromagnétiques. Sa base en diffuse en continu. Il est donc recommandé de le placer autre part que dans votre salon. Vous pouvez par exemple le placer dans votre hall d’entrée : vous n’y êtes pas en permanence, et ce n’est pas trop éloigné des pièces où vous vivez.

Éloignez-vous du four micro-ondes

Le four micro-ondes n’est pas un appareil anodin, loin de là. Ceux qui s’en servent devraient en limiter leur usage.

Lorsque l’on fait chauffer un plat au four micro-ondes, on a souvent l’habitude d’attendre devant, le nez presque collé à la vitre. Or, un four micro-ondes en fonctionnement émet une quantité importante d’ondes électromagnétiques. Veillez donc à vous tenir à distance durant son fonctionnement, à au moins un mètre. Le mieux étant d’aller faire un tour en dehors de la cuisine lorsque vous l’utilisez.

Il est aussi conseillé, dans la mesure du possible, de le débrancher entre chaque utilisation, une multiprise avec un bouton on/off est bien pratique pour cela. D’autre part il est recommandé de changer son four micro-ondes tous les 5 ans.

Remplacez vos ampoules fluo compactes

Certaines ampoules sont aussi de grandes productrices d’ondes électromagnétiques. Bien sûr, je ne vais pas vous conseiller de vivre dans le noir ! Il est toutefois préférable de remplacer vos ampoules fluo compactes -aussi appelées « économiques » ou « basse consommation »- par des ampoules Led. Elles sont un peu plus chères c’est vrai, bien que leur prix ait considérablement baissé aujourd’hui.

Important : Ces conseils sont d’autant plus importants que les lampes sont proches de vous, telles les lampes de bureau ou les lampes de chevet.

Même conseil pour les néons, ils utilisent la même technologie que les ampoules fluo compactes. Notez que l’un comme l’autre, s’ils se brisent, répandent des gaz toxiques. Veillez à les jeter dans des endroits spécifiques, que l’on trouve dans la plupart des supermarchés, ou en déchetterie.

Éteignez la radio si le son est mauvais

Dès que vous entendez des nuisances sonores à la radio, cela révèle la présence d’ondes de haute intensité. Il est donc préférable de l’éteindre. Cela fera aussi du bien à vos oreilles ! La mauvaise qualité du son les fatiguera sûrement plus vite.

Voilà, avouez que ces quelques conseils « ne mangent pas de pain », il serait dommage de ne pas les suivre. Ces astuces peuvent diminuer considérablement votre exposition aux ondes électromagnétiques. Prenez-en l’habitude, car quelle que soit la décision finale de l’OMS sur leur dangerosité : vous n’aurez rien a regrettez.

Prenez soins de vous et de ceux que vous aimez… personne ne le fera à votre place.

Partagez ces quelques conseils tout simples, pour sensibiliser toutes celles et ceux qui s’exposent inconsciemment aux ondes électromagnétiques .