Le burnout maladie des temps modernes !

Le burnout concerne pas moins de 3.2 millions d’actifs en France et n’est toujours pas reconnu au titre de maladie professionnelle. Le pire est qu’il touche les employés les plus dévoués et investis…

Le burnout, ou épuisement professionnel, est en pleine explosion dans notre pays. Les candidats au développement de cette maladie professionnelle ne sont pas moins de 3,2 millions en France, selon une étude récente .

Pourtant le burnout ne figure toujours pas au registre des maladies professionnelles reconnues par l’administration. Le sujet récemment évoqué à l’assemblé nationale, a finalement été rejeté. Pourtant cette reconnaissance favoriserait la prise en charge de la maladie et permettrait un meilleur soutien financier pour le malade.

Le Burnout : la maladie du siècle

Le burnout, en français le Syndrome d’épuisement professionnel, sont des termes qui apparaissent au tout début des années 70. Ils sont alors employés pour qualifier l’état d’affaiblissement général et psychique constaté chez les professionnels dont le métier demande beaucoup d’abnégation : médecins, infirmières, travailleurs sociaux ou enseignants.

Maintenant, on sait que le syndrome d’épuisement professionnel touche tous les secteurs d’activités, bien que certains soient bien plus affectés que d’autres. Les exigences professionnelles sont de plus en plus fortes.

Compétitivité et résultats financiers sont les bourreaux modernes du monde du travail.

D’ailleurs, la société ne porte même plus l’idée du bonheur au travail. Les préoccupations du jour pour les décideurs politiques sont par exemple : le coût que représente le niveau du smic pour les entreprises…

Les symptômes du burnout

Encore assez peu connu dans la population, la personne atteinte peut croire à une simple dépression légère à modérée, puisqu’il ne présente pas l’ensemble des symptômes du dépressif.

Il développe par contre d’autre symptômes, propres au burnout: un état d’épuisement mental, physique et émotionnel grave qui survient petit à petit, sournoisement, après de longs mois voire des années d’exposition à des situations de stress intense.

Un jour, l’épuisement est devenu total.

La personne est alors littéralement clouée au lit ou dans son canapé des journées entières, jusqu’à ce qu’elle accepte de se soigner. La situation est effrayante pour le malade ainsi diminué : lui qui débordait d’énergie au travail se retrouve sur les genoux, incapable de se relever. Il est alors en proie à l’angoisse en face du vide que représente son inaction.
Sa capacité de raisonnement s’est évanouie, les décisions les plus élémentaires s’avèrent impossibles à prendre. La mémoire fait défaut. Tenir une conversation est pénible. Des choses simples comme écrire, prendre sa voiture, utiliser un ordinateur plongent le malade dans la panique.
Jusqu’au jour où le corps lui aussi déclare forfait. Des douleurs surgissent et différents troubles psychosomatiques apparaissent, comme des messages que le cerveau transmet à travers le corps du malade qui n’entend pas raison.
Qui est concerné?

Une étude récente met en évidence que 3,2 millions d’actifs déclarent être soumis fréquemment à un stress important ou modéré, lié au travail qu’ils occupent.
Ce syndrome concerne les professionnels les plus dévoués qui aiment profondément leur métier. Ceux dont l’investissement au travail est important, trop important. Dans certaines catégories professionnelles les gens sont plus exposés au stess et donc au burnout.
Si l’employé dévoué manque de reconnaissance de sa hiérarchie et/ou de son environnement professionnel, les conditions propices sont réunies pour le faire plonger.
Comment en arrive-t-on là ?
Le burnout est une « déflagration interne » ou implosion, résultant d’une rencontre passionnée et passionnelle entre :
un candidat passionné bourré de talent et de générosité
un projet professionnel qui inspire le dépassement de soi et demande d’être performant
Il existe des facteurs personnels qui favorisent cette implosion :
une tendance au perfectionnisme
une exigence exacerbée
le peu d’estime de soi
un niveau d’anxiété anormal
certaines formes de rigidité
des difficultés à percevoir et exprimer les émotions
des comportements de type « sauveur »
un sentiment de devoir « donner sa vie pour les autres »
L’épuisement professionnel est la conséquence d’une fracture entre la personne et son intériorité. Ses valeurs profondes n’ont plus leur place dans son environnement professionnel. C’est une véritable négation de la personne dans ce qu’il a de plus humain. C’est trop largement insupportable pour que le cerveau s’en accommode : il développe la maladie.

L’engrenage est presque inévitable, il est en tout cas très fort. Ce qu’il y a de plus humain en nous ne peut être délibérément mis de côté sans que des dommages importants en découlent. Croire le contraire est idiot et dangereux.
Comment s’en sortir ?
Il faut prendre les signaux d’alarme au sérieux. Dès lors que « cet état dépressif latent » s’est installé, il faut consulter son médecin. Entrer dans une démarche de soins et bien sûr : s’arrêter un temps de travailler pour s’occuper de soi avec bienveillance, comme on le fait pour ceux que l’on aime.
Il faut simplement s’arrêter de courir pour souffler un bon coup. Laisser le silence, le vide puis le doute s’installer. Viendra ensuite le temps de la remise en question.

Quand enfin, le miraculé a identifié les éléments déclencheurs du burnout; puis réorienté sa vie pour renouer avec ses valeurs profondes qui sont sa force,  il retrouve son humanité et la santé.
Le problème est identifié
Le monde du travail devient de plus en plus exigeant, de plus en plus impitoyable. Des gens volontaires et dévoués sont broyés sur l’édifice de la sacro-sainte rentabilité économique.
Une toute petite partie de la population tire des bénéfices de cette situation. Mais… rien n’est acquis, rien n’est définitif.

Faites très attention, le burnout, on y vient malgré soi, on y glisse insidieusement. Une fois qu’on y est, le processus de guérison, le retour à la normale est long, très long. Peut-être seriez-vous bien avisé de vous renseigner davantage que ne le fait cet article.  


Le choc émotionnel est la cause de toutes les maladies selon la Médecine Chinoise

Les émotions refoulées à l’intérieur de nous-même et qu’on n’arrive pas à verbaliser, s’expriment le plus souvent par des maladies qu’on appelle « maladies psychosomatiques » et font étalage de toute une panoplie de symptômes d’angoisse et de détresse émotionnelle, se répercutant sur les organes de notre corps. 

Nous générons chaque jour du stress et des émotions négatives. Nous les accumulons dans les organes internes et dans le système nerveux. Ces émotions polluent notre corps-esprit provoquant des dysfonctions dans différents organes. La tristesse touche les poumons, la peur atteint les reins, la colère frappe le foie…

Ainsi, selon la médecine chinoise, les émotions provoquent des maladies. Et chaque organe a ses propres émotions. Dans la médecine chinoise, cette énergie s’appelle Chi ; elle est codépendante du sang. Les médecins chinois affirment que le sang est la mère de l’énergie et que l’énergie est le maître du sang.

Les reins représentent la base du yin et du yang. Ils sont donc les centres énergétiques les plus importants de notre corps. Les reins sont associés au système squelettique, à l’ouïe et à la peur. Leur traitement affecte tous les systèmes.

Le foie, par contre, filtre le sang. Il est traité dans le cas des troubles du cycle menstruel chez les femmes. Il assure le flux d’énergie à travers notre corps et contrôle le flux de nos pensées. Il fonctionne correctement quand on n’a pas de stress ou de pression. Les démangeaisons, maux de tête et vertiges sont signe d’une dysfonction hépatique. Les gens avec un foie sain sont plus sereins, prennent les bonnes décisions et sont des leaders.

Les signes de déséquilibre du foie sont soit émotionnels soit physiques. Les signes émotionnels sont traduits par la colère, l’irritabilité, l’entêtement, l’anxiété, l’amertume, la violence… Si elles ne sont pas exprimées, ces émotions peuvent provoquer la dépression ou de fréquentes sautes d’humeur.

Les signes physiques sont traduits par les problèmes menstruels, la fatigue, les tensions, la raideur du corps, les douleurs costales, les allergies…

Comment se produisent les chocs émotionnels

Les émotions touchent l’endroit le plus sensible du corps pour causer des maladies. Ce sont des maladies psychosomatiques ou « maladies de l’esprit ». Les maladies psychosomatiques peuvent être définies comme des maladies causées par le stress, avec des dommages aux systèmes et aux organes du corps.

Les situations stressantes sont inévitables. Pour les surmonter, les gens utilisent des stratégies axées sur la résolution de problèmes ou des stratégies axées sur les émotions, afin de réduire l’expérience stressante. Éviter la confrontation est une mauvaise stratégie. Car, à long terme, cette stratégie augmente les niveaux de stress et accélère l’évolution de la maladie.

C’est vrai que «l’amour et la souffrance passent par le cœur », indique une équipe de médecins et de psychologues. Toutefois, d’autres organes du corps humain peuvent être touchés par les troubles de l’âme. Autrement dit, une âme tourmentée affecte le système cardiovasculaire, respiratoire et digestif. Les parties visibles du corps sont également exposées aux attaques de l’âme, comme la peau sur la poitrine, le dos et les bras.

Les zones du corps les plus sensibles

Les organes les plus touchés par le choc émotionnel sont:

Le dos : les douleurs les plus fortes et la tension dans cette zone indiquent que vous portez toutes les charges du monde sur votre dos.

Le système respiratoire : l’incapacité de respirer ou la respiration difficile indiquent que certaines personnes, situations ou événements vous étouffent.

Le cœur : cet organe est lié à notre vie émotionnelle. Avant un rendez-vous amoureux, le cœur bat la chamade ; en compagnie d’un être cher, le cœur palpite.

Le système digestif : les dysfonctionnements du système digestif, comme la gastrite ou l’ulcère, sont dus à des problèmes de communication avec les autres.

La peau : les éruptions cutanées, les boutons ou les taches sur le visage sont signe de malaise. Elles indiquent que la personne ne se sent pas bien. Les maladies de peau indiquent un signe de rejet de certaines personnes ou d’une éviction de la situation actuelle.

Les maladies qui nous atteignent sont porteuses de messages. Elles nous indiquent un déséquilibre émotionnel ou énergétique. Il est donc nécessaire d’apprendre à lire ses messages pour avoir une vie heureuse et saine.